Mondes inversés - Histoires de Sexe

Mondes inversés

... j’avais désormais une chatte dont la mouille aurait pu servir de lubrifiant pour mon petit trou, j’étais plutôt de l’idée d’une bonne lubrification. Mario me massa l’anus avec le gel, entrant ici ou là un doigt, puis deux… Sa bite enduite de gel vint ensuite enfin frapper à l’entrée de la porte, en appuyant sur mon œillet qui ne se fit pas prier pour finir par céder sous la pression. J’étais maintenant une femme enculée ! Les sensations ressemblaient un peu à celles que j’avais quand je me faisais sodomiser en tant que travesti par des hommes (eux aussi travestis, c’était mon trip). Quelque chose me manquait toutefois, sans doute l’absence de prostate chez la femme donnait-elle un ressenti différent. Mario me besogna et jouit dans mon cul.

Nous restâmes de longs instants lovés l’un contre l’autre. Je l’embrassai et le remerciai :

— Merci, mon chou, à toi de faire la femme, maintenant !

Je me levai, sortis le gode-ceinture et m’équipai. Je restai debout à côté du lit et dis à Mario encore allongé :

— Lèche !

Il s’exécuta et je vis sa bouche engloutir mon sexe factice en va-et-vient.

— Tu aimes, hein, femelle ! lui-dis-je

Il avait la bouche pleine et ne pouvait pas parler, mais émit un grognement approbateur.

— Tu aimerais une vraie queue ? poursuivis-je.

Nouveau grognement approbateur.

— Allez, allonge-toi sur le dos et lève les jambes.

Pendant qu’il se mettait en position, j’enduisis le gode de gel pour le présenter devant sa raie. Le gode ...

... entra facilement, monsieur avait l’habitude de se pénétrer l’anus qui était du coup très souple. Bon, pour ne rien vous cacher, pour une femme avec gode-ceinture classique qui encule un homme, les sensations sont limitées, même si la rencontre de la base du gode contre ma chatte et mon clito était plutôt pas mal.

Sans doute faudrait-il essayer un gode-ceinture avec aussi un gode dans l’autre sens pour une pénétration de l’enculeuse. En tous cas, monsieur appréciait et gémissait comme une femme. Le sexe de Mario restait flasque, ce que j’avais déjà souvent constaté pour moi, quand je me faisais enculer étant travesti. Après de longues minutes (je commençais à fatiguer), il finit par jouir dans un long râle, sans doute sa prostate avait-elle bien profité de l’action. Je déculai et vins me coucher contre lui. Il me remercia et m’embrassa. Nous finîmes par nous endormir et ne nous réveillâmes qu’avec le jour du dimanche matin.

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Nous passâmes la matinée et le déjeuner ensemble puis allâmes faire une promenade. Je me souvins que ma voisine Ernestine m’avait invitée pour le thé. De son côté, Mario avait à faire chez lui et il repartit en début d’après-midi. Je m’habillai pour aller chez Ernestine : collant fantaisie, robe sage, ballerines.

Je sonnai au portillon de la maison d’Ernestine vers seize heures. L’interphone me répondit :

— Entre, Alexandra, c’est ouvert.

Je poussai le portillon, entrai, le refermai et poursuivis jusqu’à la maison. Je toquai à la ...