Mondes inversés - Histoires de Sexe

Mondes inversés

... bas-ventre étaient épilés (j’adorai déjà en tant qu’homme et travesti). J’étais aussi heureuse de sa circoncision que j’ai toujours trouvée plus hygiénique. Je descendis ma bouche vers son pénis. Ce n’était pas ma première fellation, puisque je la pratiquais aussi en tant qu’homme. Les doigts de Mario vinrent fouiller ma chatte. C’était divin. Mario me dit :

— Je veux te lécher.

Je restai allongée dos sur le lit, Mario vint entre mes cuisses me lécher l’abricot. Il était doué. J’eus un premier orgasme pendant lequel il continua ses caresses. Après quelques instants, je lui dis :

— Viens en moi.

Il s’exécuta et me pénétra en missionnaire. Je guidai son sexe et à l’entrée de ma grotte et sa pénétration fut lente et progressive puis s’accéléra. J’étais littéralement comblée ! C’était bien mieux qu’un gode. Mario me besognait avec douceur et faisait en sorte que son poids ne m’écrasât pas. J’avais son visage en face du mien et nous nous embrassions régulièrement alors que son sexe allait et venait en moi. Il se retira un instant et me proposa de me retourner. Cela sentait la levrette ! Je lui dis :

— OK, mais reste dans ma chatte, je veux que tu jouisses en moi (ce qui allait être une première, mais il ne le savait pas, pensant avoir affaire à l’autre Alexandra).

Merde, est-ce que je prenais une contraception ? Tant pis on verrait après… c’était trop bon.

J’ajustai la hauteur de ma croupe alors que je sentais son sexe derrière moi chercher l’entrée de ma ...

... fente. La pénétration fut lente et profonde, cela coulissait bien. Il finit par jouir dans mes entrailles en poussant un long râle. J’eus aussi un deuxième orgasme. Je descendis mon bassin et restai allongée sur le ventre. Mario resta couché, sa bite encore en moi alors qu’elle ramollissait.

J’avais enfin connu ma première pénétration de femme. Mario se mit sur le côté et sombra rapidement dans un sommeil réparateur (ah, ces hommes !). Je me levai et allai à la salle de bain pour essuyer ma chatte bien baveuse. Un coup d’œil sur le tiroir à pharmacie me rassura avec la présence d’une plaque entamée de pilules contraceptives. Ouf je n’avais pas envie ni d’être enceinte ni de pilule du lendemain. Et puis, après tout, ce corps n’était pas à moi, enfin je ne savais plus pour ce dernier point…

Je revins vers le lit et m’assoupis à mon tour. Je me réveillai dans la nuit alors que des mains caressaient mon corps. Mario s’était réveillé. Je me laissais faire et il s’enhardit. Dans la pénombre, je vis que son sexe avait retrouvé un bel état d’excitation. Alors que nous nous embrassions et nous caressions, je lui demandai s’il voulait me prendre par mon petit trou. Sa réponse me rappela monalter ego

— Bien sûr, mais seulement si tu me prends après avec ton gode-ceinture !

Je ne fus donc pas étonnée, ayant moi-même déjà fais la même chose avec Marion.

Il se leva pour aller chercher du gel, sage précaution, car on a beau dire, la mouille du cul, c’est pas vraiment ça. Même si ...