Grand format
Datte: 07/02/2023,
Catégories:
fh,
couple,
fête,
amour,
noculotte,
caresses,
entreseins,
Oral
exercice,
nostalgie,
amouroman,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... entame une gigue très américaine. Charlotte se met ensuite au piano, un petit piano droit sous lequel elle a du mal à se caler, et ses grandes mains courent sur le clavier en crachantThe Entertainer. Après un « bis » et des salves d’applaudissements, la chaîne hi-fi débite quelques tubes à danser. Certains couples se lancent, incités par Marc et Sylviane qui sont les premiers. Globalement, on reste entre soi, entre couples établis. Du coup, les deux connards qui font tapisserie, c’est Charlotte et moi. Comment veux-tu danser un rock avec cette tour ? Impossible de lui passer le bras au-dessus de la tête. Houspillés par les autres, on y va quand même, mais en se trémoussant sans se toucher. Je ne sais pas quel est l’abruti qui soudain lance une série de slows. On n’a guère le choix, on s’enlace. Finalement, ce n’est pas si terrible que ça. Certes, j’ai les yeux à hauteur de sa bouche, mais elle penche la tête sur mon épaule et tout va bien.
— Ça va, demande-t-elle ? Je ne vous fais pas fuir ?
— Non, vraiment pas envie. Je me sens fort bien.
— Tant mieux, c’est rare…
— Confidence pour confidence, je suis sensible aux attributs féminins…
— Alors ?
— Ben… Comme vous êtes environ 20% plus grande que la moyenne et néanmoins admirablement proportionnée, ça fait 20% de nichons et 20% de fessier en plus ! On solde chez Confornana !
Elle éclate d’un rire tonitruant qui fait s’arrêter les autres. Y a juste Sylviane qui fait un clin d’œil entendu à Marc, ça sent le piège à ...
... plein pif. Et pourquoi ne pas se laisser piéger ? La nana est immense, certes, mais elle est belle, elle sent bon, elle est intelligente et a très bon goût. Je lui dis :
— Vous savez ce qui me ferait très plaisir ?
— Dites ?
— Continuer ce slow langoureux avec une clope dans une main et un verre dans l’autre.
— Hum… ça me va.
On sort sur la terrasse avec nos verres pleins, on allume nos clopes, puis vient l’instant de rejoindre nos corps. Ses seins m’atteignent en premier puis son ventre se colle à mon estomac. On bouge à peine, on se frotte l’un contre l’autre, je me mets à bander dur et je crois qu’elle le sent, car elle insiste lourdement au bon endroit.
— Hum ! C’est jouissif, dis-je en buvant une gorgée.
— Très. Mais je vais devoir arrêter…
— Pourquoi ?
— Parce que j’ai un caleçon serré qui ne permet pas de porter de petite culotte qui ferait de grosses vilaines marques sur les fesses. Et je vais tremper mon caleçon… Et ça va se voir…
— Dommage que ça vous gêne, j’aurais pris ça pour un hommage fabuleux.
— Alors… Tant pis pour les autres.
— En effet. Mouillez, ma chère, mouillez tout votre saoul. Et moi je bande comme un âne.
— Je crois l’avoir bien senti, et je prends cela aussi comme un hommage.
Je lui fais des petits baisers sur la joue, puis je lui mordille le lobe. Ça finit comme ça devait, par un long baiser gourmand suivi d’une étreinte furieuse contre la rambarde. Mes mains courent partout, rencontrent une flaque au fond d’un caleçon et deux ...