1. Formateur est un beau métier – Astride


    Datte: 06/02/2023, Catégories: fh, profélève, école, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, fouetfesse, nostalgie, prof, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... vois une (bien que l’épilation intégrale reste assez rare), mais je reconnais que celle que je viens de voir vaut le déplacement.
    
    Imperturbable, je retourne à mon tableau blanc, comme si de rien n’était, mais l’entrejambe d’Astride flotte devant mes yeux. Je m’étonne moi-même d’avoir été si impressionné par ce sexe dévoilé. Pourtant, je ne suis absolument pas en manque : pour preuve, ma précédente nuit plutôt torride avec ma petite amie.
    
    Durant toute la matinée, Astride s’amuse à me narguer de façon souvent subtile. Elle sait très bien que j’ai vu ce qu’elle voulait que je voie. Elle fait des allusions que moi seul peux comprendre. L’heure du midi m’apporte un peu de répit puisqu’elle part manger au-dehors avec les autres stagiaires.
    
    — Enfin ! Je vais pouvoir déjeuner en paix !
    
    Mais ça reprend de plus belle en début d’après-midi. Astride est toujours au premier rang, et n’hésite pas à écarter copieusement les jambes dès que je regarde dans sa direction. Je loue ma grande force de concentration, car il y a de quoi craquer ! Je commence à mieux saisir pourquoi certains de mes collègues ont carrément jeté l’éponge. Je comprends aussi pourquoi deux de mes collègues sortent avec d’anciennes stagiaires. Si elles leur ont révélé leurs appas de la sorte, c’est une très bonne façon de se « vendre » d’un point de vue marketing…
    
    Même si je dois reconnaître que cette Astride est attractive, je tiens beaucoup à mon actuelle petite copine avec laquelle j’envisage diverses ...
    ... choses dans le futur. Si j’avais été vraiment célibataire, peut-être que…
    
    Enfin, l’heure de fin du stage sonne après de longues heures qui m’ont semblé être des siècles. Mais je tiens à avoir ma petite revanche. Tandis que toutes les bureauticiennes se lèvent pour partir, je m’adresse à l’une d’elles :
    
    — Pas vous, Astride… On ne peut pas dire que le dernier exercice ait été une franche réussite. Vous allez donc rester sur place et me le refaire, mais avec d’autres données !
    — Mais !
    — Il n’y a pas de « mais ». Rassurez-vous, si vous le réussissez, dans moins d’un quart-heure, vous serez dehors.
    
    Ce qui fait rire ses camarades. L’une d’elles mime même fugacement une fellation. Son entourage s’esclaffe joyeusement. Pour sa part, Astride est mi-figue, mi-raisin, mais elle obéit, elle reste sur place. Je lui redonne l’exercice en modifiant quelques paramètres. Après quelques tâtonnements, elle finit par le terminer.
    
    Consciencieux, je vérifie si tout est OK :
    
    — Oui, c’est bon, vous avez réussi… Vous voyez, quand vous le voulez…
    
    Elle se lève de son siège, puis elle me fait face, faisant la moue :
    
    — Oui, ben, cet exo me sortait par les trous de nez, j’avais hâte de rentrer chez moi.
    — Mauvais calcul ! Vous l’auriez fait correctement, vous n’auriez pas fait d’heures sup’…
    — M’en fiche, je fais ce que je veux !
    — Ça, j’ai remarqué !
    
    Elle affiche alors un petit sourire que je trouve fort pervers :
    
    — Comme mon absence de culotte, hmm ?
    — Vous êtes une sale ...