1. Formateur est un beau métier – Astride


    Datte: 06/02/2023, Catégories: fh, profélève, école, Voyeur / Exhib / Nudisme nopéné, fouetfesse, nostalgie, prof, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    Mon actuel métier est d’être formateur. Depuis ces dernières années, depuis que j’approche la cinquantaine, je passe ma vie à aller d’entreprise en entreprise pour porter la bonne parole informatique. Généralement, je donne cours à cinq ou six personnes ; parfois à une seule, c’est très variable.
    
    L’anecdote d’aujourd’hui est assez ancienne, elle date de mes débuts dans ce métier, mais elle a (à juste titre) marqué ma mémoire. Elle est divisée en deux parties. C’était à l’époque lointaine où je dispensais des formations de bureauticiennes. Ces stages étaient à la fois prisés et redoutés par les formateurs masculins, car ces stagiaires féminines étaient redoutables à divers points de vue !
    
    Une solution simple et efficace aurait été de mettre des formatrices, mais, pour diverses raisons, la plupart d’entre elles ne voulaient pas animer ce genre de formation. Étant d’un naturel assez flegmatique, j’ai souvent été désigné d’office, certains de mes collègues ayant craqué. Il suffit de rester détaché tout en étant pro. Ce qui n’est pas toujours facile quand de jeunes femmes s’amusent à vous provoquer et vous exciter, quand on est soi-même un jeune homme normalement constitué, même si l’on a déjà une petite copine à laquelle on tient !
    
    Que je vous raconte ça… D’abord la première partie…
    
    Nouvelle journée, nouveau groupe de bureauticiennes. Au premier coup d’œil, je sens que ça va être chaud. Après un rapide tour de table, je demande à chacune d’écrire nom et prénom sur ...
    ... un petit chevalet posé sur la table. Il ne me faut pas trop longtemps pour repérer les éléments perturbateurs, surtout cette Astride qui ne semble pas avoir froid aux yeux (et ailleurs). En général, les jeunes femmes se sentent comme en vacances durant le stage, le printemps est bien avancé, il fait beau en ce mois de mai (fais ce qu’il te plaît).
    
    Vous voyez le genre, je suppose…
    
    Après les rituelles questions sur qui je suis, ce que je fais, ce que j’aime, si je suis célibataire (à moitié) et j’en passe, je commence le cours, malgré une bonne dose d’aguicheuses en herbe en face de moi. Je sais qu’elles s’amusent, qu’elles se défoulent, mais j’ai un programme à respecter.
    
    Je suis en train d’écrire sur le tableau blanc. À chaque fois que je me retourne, j’ai souvent droit à des œillades, à des bouches en cul de poule, et même aussi à des décolletés devenus plus profonds. Je reste zen, je connais les règles du jeu.
    
    — Eh zut !(je suis capable de rester très poli quand il le faut)
    
    Le marqueur effaçable vient d’échapper de mes doigts, il roule derrière moi. Je me retourne, je m’accroupis pour le ramasser, c’est alors qu’au premier rang, j’ai droit à une vue imprenable sur des jambes largement écartées sous une jupe, avec zéro culotte !
    
    Je lève un peu les yeux pour savoir à qui j’ai affaire : je viens d’admirer la chatte lisse d’Astride qui sourit d’une façon faussement naïve. Une belle fente, légèrement entrouverte et humide… Ce n’est pas la première fois que j’en ...
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