La mère de ma petite amie.. (5)
Datte: 05/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... se reconcentre sur sa fellation. C’est un peu malhabile, elle n’ a pas tout à fait le sens du rythme, mais tout cela est compensé par l’ enthousiasme de son attitude. Quand elle reprend haleine après m’avoir embouché loin, elle murmure – Oh que de temps perdu, oh que c’est bon, putain j’adore te sucer.
Son langage qui dérive est le signe qu’elle a franchi un nouveau palier dans l’excitation, et je me permets donc un
— Mmm, suce-moi bien fort.
Ce qui lui tire un franc sourire et la pousse à lécher de plus belle. Sa langue fait le tour du gland, descend le long de la veine qui pulse, vient finir sur mes burnes gonflées. Elle me regarde et aspire tout à tour mes burnes, une vraie petite ventouse.
— Oh, putain c’est bon...
— Mmm j’avais oublié comme c’est bon de faire une pipe, oh, comme j’adore ton odeur et ton goût mon salaud.
Je la regarde droit dans les yeux, le regard déjà un peu vague, presque halluciné et je sens qu’elle est à point pour une nouvelle escale verbale ; aussi je lâche :
— Profites-en bien petite salope.
L’éclair de pur plaisir qui passe dans ses yeux me montre que je ne me suis pas trompé (bon, après son concerto précédent, c’était prévisible) et elle continue son manège en faisant rouler mes boules entre ses doigts et en suçant avec frénésie, m’arrachant ainsi des soupirs d’extase. Une longue minute où elle essaye de m’avaler le plus loin possible et elle ressort les lèvres gonflées, la bouche entrouverte.
— Crache sur ma queue, ...
... ça glissera mieux.
Elle n’hésite même pas et crache à deux reprises sur mon gland, regardant fascinée les fils de salive qui en coulent et en disant – Tu as raison, je vais pouvoir mieux bouffer ta bite !
Nous sommes passés à une autre étape et cette dichotomie entre son attitude habituelle et sa façon chienne de me sucer est bandante. Elle m’aspire avec des bruits obscènes et, puis attrape mes mains qui étaient jusqu’à posées sur ses épaules et, les dispose sur l’arrière de sa tête. Je crois disjoncter devant ce vicieux blanc-seing qu’elle m’offre et je tire sa tête vers moi, la faisant s’empaler sur ma queue tendue. Elle bave, gémit, mais à aucun moment ne se refuse et je rajoute alors :
— Avale tout salope, bouffe-moi jusqu’aux couilles.
Et comme si je ne tirais pas assez fort sur sa tête, elle empoigne mes fesses et se tire elle-même vers mon ventre jusqu’à avoir le nez dans mes poils pubiens. Je la regarde, ses yeux exorbités, vivante image du vice. Ma queue baigne dans sa bouche chaude et humide, j’ai lâché son crâne et elle tient encore un peu avant de ressortir entièrement mon sexe. Elle bave, les yeux fous, et gémit :
— Encore, biffe-moi la gueule avec ta queue.
Toute limite verbale et sensuelle franchie. Je frotte mon sexe tendu sur son visage, répartissant salive et pré-sperme pour son plus grand plaisir.
Je suis au bord de la jouissance, tant c’est pervers, tant elle est devenue Mister hyde ou misses salope.
— Je vais te baiser la bouche ...