La mère de ma petite amie.. (5)
Datte: 05/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
Résumé : Ma petite amie Sarah et moi avons une sexualité un peu light et je pensais que cela venait de sa mère, Karine une très belle femme a l’apparence très comme il faut. Je découvre de plus en plus de choses sur ma petite amie... et surtout sur sa mère...
Karine est étendue, pantelante, bras et jambes relâchés, une vrai poupée de chiffon après son cri de jouissance qui a dû s’entendre à bonne distance. Je la regarde, clone de Sarah avec une petite vingtaine d’années en plus, une poitrine plus lourde, des traits fins, des cheveux bruns mi-longs, et des yeux qui sont passés de froids à brillants, brûlants, expressifs, coquins, sensuels...
Elle a repris son souffle, même si ses seins se soulèvent encore rapidement et me regarde d’un air très coquin. Ceci dit, il y a de quoi, je suis nu devant elle, la queue tendue, bien droite, déjà lubrifiée par mon excitation.
Elle soupire et lâche d’un air navré :
— Je vous remercie vraiment pour vos soins, je me sens revigorée. Malheureusement, ignorant vos disons, dispositions, je crains d’avoir abusé d’un appareil de massage long, dur et vibrant toute la nuit. Il faudra donc remettre, car nous ne sommes pas au cinéma n’est-ce pas.
— Il en sera comme vous le désirez, je ne voudrais pas vous blesser.
— Comme c’est délicat. Vous êtes un vrai gentleman.
Tout en discourant, elle regarde mon sexe gonflé et se pourlèche les lèvres d’une langue mutine, appréciant visiblement la taille et la grosseur de mon engin, puis, ...
... tendant deux doigts, elle récolte un peu de pré-sperme sur le bout du gland, et déguste sa récolte en me regardant droit dans les yeux, son regard désormais passé en mode salope intégrale.
— Néanmoins, avec cette chaleur, ce petit apéritif m’a donné très soif surtout que cela fait bien longtemps que je n’ai plus dégusté un cocktail tel que vous le proposez.
— Je m’en voudrais de vous laisser dépérir et c’est fort volontiers que je vous laisserais vous abreuver à la source.
— Oh, merci.
Je m’avance, mon gland rouge et gonflé juste devant sa bouche. Elle regarde encore, soupèse les burnes avec ses mains fines en lâchant :
— Je pense qu’il y a là assez pour étancher ma soif.
Puis elle embouche mon sexe dur avec un air d’extase et un soupir qui dit assez ce dont elle a été privée si longtemps.
J’ai (vraiment) du mal à comprendre son époux qui dispose d’une telle bombe et la trompe avec des jeunettes écervelées au QI d’huître dont le cerveau n’est qu’un réceptacle à pub. J’ai là une vraie femme, au discours à double sens ultra-excitant, aux appas splendides, qui m’embouche la queue avec une vraie ferveur. Elle pompe fortement durant un long instant comme si elle voulait rattraper le temps passé et se régaler de goût et de saveur puis se calme un peu et parcourt alors lentement toute la tige de bas en haut avec une petite langue mutine. Sa main droite descend pour se caresser, mais remonte après une petite grimace, sa petite chatte a vraiment trop dégusté et elle ...