Mémoires d'une jeune suceuse (2)
Datte: 04/02/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JeuneSuceuse, Source: Xstory
... les cherches... C’était juste pour voir ta docilité, mais j’ai mieux à faire, regarde : Tends bien la langue, Salope, il faut qu’ça glisse... Je vais te cracher dans la bouche... Voilà... Pfttt !
— Hummm...
— N’avale pas, t’entends...?
J’aime tellement quand arrive le moment où je remets mon souffle entre les mains de mon amoureux...
Il y va toujours lentement, mais de façon continue, c’est à dire en douceur, en prenant soin de moi. Mais contrairement à d’autres moments (tout aussi jouissifs), le vendredi il ne s’enfonce jamais au fond de mon œsophage, et me laisse un peu de respiration... Il s’immobilise au tout début de ma petite gorge serrée, celles qui connaissent savent, là où ça chatouille et où ça se resserre, juste après la luette...
Du coup, l’air qui entre en moi autour de son gland se charge alors de toute sa senteur de bite, et descends réjouir mes jeunes poumons enserrés dans mon corsage, à moitié défait, et mon chemisier tout chiffonné... Puis il poursuit :
— Allez, serre-moi cette Petite Gorge de Suceuse, maintenant, que j’puisse t’étaler ça dedans comme il faut... Voilà... Comme ça... Nickel... Ben là, tu vas garder le goût longtemps, crois-moi, Salope...
La plupart du temps, ce moment-là doit durer deux/trois minutes, durant lesquelles j’essaie de pomper respectueusement son gros gland tout gonflé avec ma gorge, pour bien le nettoyer, et terminer la première partie de mon "goûter". Quand il me fait cracher sa bite, elle ressort de sa ...
... suceuse presque comme d’une douche, dans un état impeccable. Presque hein, j’ai dit...
Pour ma part, j’en ai pour mon compte : après mon "utilisation", je suis toute sale (mais seulement dedans, car le vendredi, j’ai le droit de "manger" proprement), et la saveur va s’en diffuser durant une bonne demie heure. J’ai un peu l’impression d’être un diffuseur de parfum "senteur salope"... Des fois, quand j’y pense, je me mets à rigoler toute seule...
Alors, n’ayant plus d’utilité immédiate pour mon homme, il me renvoie sans façon au salon pour continuer de se masturber, seul, sur mon lit, c’est la coutume du vendredi, en me frustrant comme à chaque fois, loin de lui, dans l’attente incertaine d’avoir droit à la partie finale, et la plus consistante, de mon goûter.
Je n’ai aucune idée du temps que j’ai en ce moment où je vous écris... C’est ce moment que j’ai pris pour relire ce texte, rédigé la semaine dernière à la même heure... L’odeur et le goût de son épaisse crème de gland m’inonde encore les sens et l’esprit, et intérieurement, inspirée par ce goût si tenace, c’est un peu dans cette "encre" que j’ai pris la plume pour vous raconter mes vendredi...
En général, c’est un moment qui... Mais, oh ! Les amis, vous allez me détester, pardon, il faut vite que je vous laisse !
Je meurs toujours de faim, et la petite suceuse que vous connaissez maintenant en moi reconnaîtrait le sifflement impérieux que je viens d’entendre entre mille : J’ai une minute pour ramper jusqu’à la ...