1. Mémoires d'une jeune suceuse (2)


    Datte: 04/02/2023, Catégories: Hétéro Auteur: JeuneSuceuse, Source: Xstory

    ... le dos et elle quittera pas tes yeux, pour que tu lises bien ma Gratitude, comme t’aimes... Alors, je peux, dis, j’ai la permission de Téter ta Bite, Maitre ?...
    
    — Oh ! Je t’aime, toi Je t’aime tellement !... Vas-y, prends Bien ton temps et Suce, Sale Pute.
    
    — Ouiiiiiii !!!...
    
    Enfin, le début de mon goûter !
    
    Il avance alors vivement mais très légèrement ma tête, en me tenant toujours par les cheveux, puis, une fois qu’elle se retrouve à nouveau inclinée à ses fameux quarante-cinq degrés, mon chéri abaisse sa grosse pine toute crade sur ma jeune langue palpitante de gourmandise, et, à l’instant où elle et la suceuse entrent dans ce délicieux contact, gardant au-dessous cette langue tendue et immobile, je dépose délicatement sur son gland monstrueux toute la pulpe de ma lèvre supérieure. (Il a déjà dit plusieurs fois que j’ai une bouche de suceuse, et que ça aussi, ça a joué pour l’alliance que j’ai au doigt). Peut être est-ce du à ma jeunesse, ou bien c’est ma nature de petite salope qui s’impose à moi, quoiqu’il en soit, le réflexe de la tétée m’échappe avant même que j’aie le temps d’y penser, et je commence à déguster sa crème de foutre du matin, tout doucement, presque imperceptiblement, sans la moindre difficulté pour tenir ma promesse de lenteur, et dans un sentiment d’intense dévotion pour mon amoureux, qui, sans doute, doit pouvoir lire dans les yeux de sa "pute" tout le bonheur qui est le mien, et tout le plaisir que j’y prends.
    
    Commence alors mon ...
    ... premier repas du vendredi, et, je ne saurais vous le cacher, mon préféré de la semaine...
    
    Avec une régularité de métronome au rythme le plus bas, je tète en savourant toute l’épaisseur de son sperme macéré de la journée, dont la négligence volontaire représente son désir de me montrer combien il a pensé à moi...
    
    C’est une négligence autant choisie que soignée : Il sait que j’ai horreur du pipi, et je vous assure que pas une molécule de mon "goûter" ne m’en suggère le goût. Non, ce n’est que de sécrétions sexuelles qu’il nourrit sa suceuse, et avec la moiteur de son prépuce et la chaleur de son pantalon, la crème grasse dont je me repais envahit tout mon univers d’un puissant goût de bite, dont le plus proche cousin, quoique très éloigné, serait l’odeur d’un bol de crevettes, oublié quelques heures au soleil de juillet... Cette comparaison ne fait pas mon délice, loin s’en faut, je vous assure, mais je peux vous assurer aussi que celui que j’ai dans ces moments-là dans "ma petite bouche d’adolescente" comme il dit pour s’exciter des fois, ne laisse en moi aucune place à la projection, tant sa saveur, inouïe de puissance, me comble de satisfaction..."Hummm Tttt...Tttt... Tttt... Mmmmh...Ttt... Tttt... Tttt... Ouiiii... Mmmmh... Tttt... Ttt... Tttt.."
    
    De temps en temps, il m’arrache sa queue quelques instants, afin que je puisse savourer ce qu’elle laisse incrusté sur ma langue asséchée par la soif, et sa voix me rappelle à son service et à notre jeu, mais surtout, à ma ...
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