1. 25 années dans la peau d'une salope (4)


    Datte: 03/02/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Meow13, Source: Xstory

    ... retournée en disant cela et broyait mes fesses avec ses grandes mains de pianiste. Je l’embrassais avec passion, je le sentais sourire contre mes lèvres et je souriais aussi. Il me souffla à l’oreille :
    
    — Je vais te déshabiller et je vais t’allonger sur notre lit.
    
    — Et ensuite ?
    
    — Je vais lécher ta merveilleuse petite chatte jusqu’à ce que tu jouisses encore et encore dans ma bouche. Après je te prendrais, je vais te faire l’amour longtemps, comme j’aime, je bougerai à peine en toi et je te dirai que je t’aime. Parce que putain qu’est-ce que je t’aime.
    
    Il a tenu parole, comme toujours. C’était la première personne que je rencontrais qui parlait aussi bien de sexe, sans être vulgaire, sans être gêné non plus. Je me retrouvais bientôt les pieds sur ses épaules tandis que son nez et sa langue se plantaient dans ma vulve, à elle aussi il lui parlait. Il lui disait qu’elle était la plus belle fleur qu’il ait jamais vue, si belle, si douce, si parfumée. Il buvait mon jus comme on boit un nectar. Il rendait mon clitoris fou de tant d’attention. Il ne s’arrêta qu’après m’avoir fait jouir 3 fois, j’étais une fontaine, j’en oubliais mon nom.
    
    Puis il était venu se ficher en moi. Lourd, long. La plus belle queue de ma vie. Une fois tout au fond, il poussa un grognement de satisfaction et arrêta de bouger. Il me regardait comme s’il me voyait pour la première fois.
    
    — Tu es sublime princesse.
    
    — Je sais.
    
    — ...
    ... Je te le dis trop.
    
    — Non, ce n’est jamais assez.
    
    — Tu es sublime, ta peau est sublime, ta chatte est sublime. Je suis si bien en toi. Je suis chez moi en toi, c’est si chaud, si doux, si bon.
    
    Il avait commencé à bouger, des mouvements de bassins presque imperceptibles qu’il amplifiait peu à peu. Quand la cadence devenait plus soutenue, il arrêtait, puis recommençait du début. Cela faisait ainsi de longues vagues pendant des heures, où son fabuleux pénis planté en moi ne se lassait jamais de ce numéro. La lenteur me permettait de jouir un nombre incalculable de fois. Finalement, il s’était décidé à jouir et accélérait de plus en plus, jusqu’à devenir bestial.
    
    J’adorais regarder le changement qui s’opérait en lui. Son visage d’ange se faisait plus dur, il attrapait mes cheveux, ne parlait presque plus sauf pour lâcher des jurons où me dire que j’étais sa salope. Dans ces moments-là, c’est ce que j’étais. J’étais son amour, son amante, sa princesse, puis sa salope quand il jouissait. Nos corps claquaient l’un contre l’autre, il me limait à un rythme effréné, je m’abandonnais totalement dans ses bras, je murmurais son prénom. Il jouissait bruyamment comme peu d’hommes le font. J’adorais ça. Comme d’habitude, il s’était endormi encore en moi, la tête sur ma poitrine, suçotant légèrement un de mes seins. Je l’avais regardé dormir quelques minutes avant de sombrer à mon tour. Il était si beau, abandonné ainsi. 
«12»