1. La morale d'Anon 03


    Datte: 02/02/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... laissait qu'une seule lampe à huile. Chacun ne distinguait qu'à peine le corps de l'autre mais ce n'était plus avec les yeux qu'il le découvrait.
    
    Les mains de Dauj se promenaient avec de plus en plus d'insistance sur le corps de Ramat. Il laissait également tomber la tunique, il était nu, il bandait avec force. Son sexe était dur, bien dur et se relevait. Les mains de Ramat exploraient le corps de Dauj. Il était bien plus vieux qu'elle mais en fait il n'avait pas trente cinq ans. Et même si cet âge est celui d'un homme mûr, il était très beau, c'est à peine si les première rides se dessinaient sur son visage et son corps était ferme et musclé. Ferme comme son pénis qui ne montrait aucune faiblesse.
    
    Avec ses lèvres il parcourait le corps de sa maîtresse, avec le bout de son nez il lui chatouillait les seins, ses tétons durcissaient. Sa langue suivait, sa barbe parfaitement bien entretenue, depuis quelques temps il faisait des efforts sur ce point, rajoutait à la douceur de ses lèvres une petite sensation de dureté qui grattait, mais toujours avec beaucoup de douceur.
    
    Ramat, ne s'y attendait pas et soupirait de plaisir. Il s'allongeait sur elle et l'écrasait avec retenu. Avec beaucoup de retenue, il se retenait avec les bras et avec les jambes repliées il prenait soin de ne pas paraître trop lourd. Elle appréciait ce contact, écartait les cuisses et glissait ses jambes sur ses fesses. Il la pénétrait avec conviction puis s'arrêtait.
    
    – Tu es vierge ?
    
    Pour seule ...
    ... réponse elle refermait ses bras sur lui et le serrait encore plus fort, elle le tirait contre elle avec ses jambes. Il cédait, et terminait de la pénétrer, ça résistait un peu, elle gémissait, peut être une légère douleur.
    
    Mais quand le ventre de Dauj s'écrasait sur celui de Ramat la douleur était déjà oubliée et c'était un cri de plaisir qu'elle poussait, il perdait prise et s'écroulait sur le corps de Ramat, de tout son poids. Elle était forte, il était musclé, il la tenait contre elle, leurs corps roulaient et c'est elle qui alors le chevauchait. Là encore la position n'était pas convenable.
    
    Ils s'en moquaient et roulaient encore l'un sur l'autre. Elle aimait sentir son poids, elle aimait se sentir écrasée, surtout qu'il ne le faisait qu'avec beaucoup de douceur. Il l'embrassait, elle caressait et découvrait ses muscles. Il se retirait, elle gémissait. Il revenait, elle criait de plaisir.
    
    Dans les chambres à côté le lit tapait avec force contre le mur. Les deux amants se regardaient dans les yeux. Même là il ne la reconnaissait pas, il ne l'avait jamais regardé de cette manière avant. Ils se souriaient et se comprenaient. C'est toutefois avec lenteur, avec réserve qu'il se retirait pour revenir avec un peu plus de force.
    
    Il tenait une déesse dans ses bras, bien sûr c'était une pute mais elle n'était pas comme les autres putes de cette maison. Elle, elle était vierge ! Il se retirait et revenait puis accélérait le mouvement. Il était très attentif à sa moindre ...