Pour une simple crevaison
Datte: 02/02/2023,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
jeunes,
ascendant,
poilu(e)s,
campagne,
amour,
Oral
pénétratio,
Humour
consoler,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... tendrement que possible. Les galipettes avec son ex, Claire n’en gardait pas un souvenir impérissable, juste un échange de fluides à la va-vite ; peut-être songeait-il déjà à reprendre l’affaire familiale.
Mais Gaspard la faisait vibrer comme jamais depuis son adolescence. Un viril tendre, une espèce très rare à sauvegarder. Elle se fit trousser dans la cuisine, allongée sur la table en érable massif – une Ikéa en carton massif n’eut point résisté à l’assaut ; honorée dans la salle de bain, agrippée à la barre de douche, les fesses tendues en arrière, les seins emprisonnés dans ses larges paluches. Même la buanderie reçut leur visite, installée sur la machine à laver en mode essorage.
Et, bien sûr, dans la chambre, où elle lui prodiguait des fellations dignes de courtisanes royales. Elle que la pratique rebutait y prenait maintenant plaisir avecson mec. Il lui rendait la pareille en enfouissant son nez dans la sombre et dense toison, venant titiller de la langue son huître perlière.
Elle voulait se faire débroussailler la motte, lui l’en empêchait, il trouvait un charme fou à cette mystérieuse forêt-noire et sa délicieuse griotte.
En cette période estivale, les soirées longues permettaient de faire de belles promenades dans la campagne environnante en se tenant la main, ou un peu de bronzette allongés dans la pelouse.
Leurs emplois du temps respectifs leur causaient bien quelques tracas, elle travaillait le samedi, lui non ; lui le lundi, elle non. Ces ...
... jours-là ils se retrouvaient parfois en ville pour faire du lèche-vitrines, ou se payer une toile ou un restaurant. Ils aimaient aussi lire, blottis l’un contre l’autre sur le canapé. Ils adoraient des petits moments d’intimité.
Gaspard tondait aussi la pelouse tandis que Claire entretenait le parterre de fleurs, officialisant ainsi leur relation au vu et au su de tout le voisinage qui ne trouva rien à redire.
Un soir, allongés l’un contre l’autre dans le lit, il caressait distraitement les cheveux de sa compagne.
— Chéri, j’ai peur.
— Ah. Je crois en connaître la raison, moi aussi j’ai la frousse.
— Dans quinze jours, c’est la fin des cours à la fac. Damien va revenir.
— Pareil pour moi. Clémence m’a annoncé son arrivée pour samedi en huit.
— Gaspard, qu’allons-nous faire ? Mon fils a tellement peur qu’un homme me refasse du mal qu’il mène une enquête digne d’un détective privé sur le candidat.
— Tu en as eu beaucoup, des candidats ?
— Jaloux ? demanda-t-elle dans un sourire.
— Nooon, enfin, un peu quand même.
— Un seul, que mon fils a fait fuir, il y a quatre ans, depuis, personne… Et toi ?
— Personne, à part une prof du collège qui me faisait les yeux doux. Clémence m’a bien spécifié qu’elle ne voulait pas de prof à la maison, elle en avait assez en classe.
Ils rirent tous deux, mais n’en menaient pas large quand même.
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Ils songeaient à divers subterfuges pour présenter la chose aux enfants, même de cacher cette liaison. Projet vite abandonné, ils ...