Ma vie comme dans un X des années 70 (1)
Datte: 01/02/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
... tendres et doux : « Laisse-toi faire, nous sommes là pour toi. »
Nos deux langues s’oublient un instant.
— Mais, réagit Pascale, on est en pleine débauche, là! Qu’est-ce que vous me faites faire ?
— Détends-toi, répond Caroline, tu vas voir, tu es trop timide.
Elle l’aide à se défaire du jeans. La culotte apparaît, assortie au soutien-gorge. Pascale dévoile une intimité bien plus érotisante que ses attitudes le laisseraient espérer. Caroline me roule une pelle, elle sort ma bite de mon pantalon. Puis elle-même retire son T-Shirt. Seins nus. Bouts tendus. Retire son Levi’s. Culotte rose. Elle la retire. Petite toison naturelle. La voilà à poil. Elle se saisit de la bougie bleue, et la passe entre ses cuisses, qu’elle serre fermement. Elle aime se montrer. Elle fait sa "libérée". Je passe ma main sur la culotte de Pascale, je sens une toison nettement plus fournie que celle de mon amie. Cela renforce mon excitation. Caroline prend une autre bougie et suggère que je m’occupe de Pascale pendant qu’elle fera connaissance avec ce simili godemiché. Mais Pascale avoue :
— Je ne suis pas habituée. Je suis assez étroite... pas pucelle, mais étroite...
— Je sais, on en a déjà parlé, répond Caroline. Si tu veux, Patrice et moi allons de détendre un peu...
Caroline vient entre les cuisses de son amie et commence à embrasser le haut de ses cuisses, puis le minou que je caresse aussi, en m’appliquant : à cet âge, on n’est pas toujours des plus habiles... Pascale ...
... pousse de petits gémissements, se laisse embrasser. Passive. Timide. Mais consentante. Caroline la lèche en faisant « Hmmm, j’aime bien le faire, c’est salé... ça sent bon, dis-donc. » Et elle ajoute « Je vais te mettre un doigt. »
Je sens une petite crispation du corps de notre copine, un peu tendue... mais ça ne dure pas. Je prends sa main gauche et la pose sur ma queue. Elle dit :
— Je n’ai jamais masturbé un garçon. Le seul que j’ai connu m’a sautée quasiment sans préliminaires.
Il faut se souvenir que nous sommes vers la fin des années 70 ; les garçons n’ont pas tous appris la sexualité dans les livres et les films !
Caroline a cessé ses jeux de langue et de doigt, mais la bougie verte se retrouve en action à l’entrée de la vulve. Elle la fait entrer un tout petit peu ; Pascale réagit en riant, sur un mode un peu hystérique :
— C’est froid !
— Si tu veux, je peux prendre la place ; moi, je me sens brûlant... lui dis-je.
Pascale demande à Caroline :
— Au point où nous en sommes... tu me le prêtes ?
Ce n’est plus de la bougie qu’il est question, mais de moi, si j’ai bien tout suivi. Je n’ai jamais fait les scouts, mais suis toujours prêt, disponible. En route pour une fin d’après-midi bien plus agréable qu’écouter une copine de fac massacrer les succès des Beatles ou des Rolling Stones...
Quand j’entre dans Pascale, elle allongée sur le lit, moi à genoux. Elle est trempée. Et Caroline caresse son clitoris, tout en se branlant de l’autre main.
— ...