Le stage de Clara (3) - Histoires de Sexe

Le stage de Clara (3)

... sexe est un peu plus gros que le précédent, la fermière s’approche avec la capote et la vide dans l’entonnoir. Le sperme coule dans le fond de ma gorge.

Le deuxième a fini, un troisième se met en place, le contenu de la capote finit dans ma gorge. Je ne sais pas combien ils sont, je ne sais pas qui ils sont, mais je ne suis qu’un réceptacle pour eux.

Ils passent les uns après les autres. Je n’arrive plus à compter. Le gavage au sperme continue. Je ne suis rien, qu’une femelle bonne à être baisée, une vide couille, un sac à foutre, ma honte est totale. Mon esprit se met à tourner et je sens la jouissance arriver. Moi, la prof respectée ne sert que de vide-couille à une bande de lascars bien membrés que je ne connais pas. Ma jouissance est énorme. Je me dis que ma place est là, à servir qui veut.

Ils partent tous me laissant seule. Je reste attachée, je commence à être ankylosée. Je ferme les yeux, je ne peux qu’attendre, je n’ai pas le choix. Ils reviennent tous, riant, parlant.

— Alors, Solange, tu veux qu’on l’encule ?

— Oui, allez-y... Elle a bien supporté trente bites dans sa chatte, on verra si elle supporte trente queues dans son cul.

Le premier force un peu, pourtant il a mis du lubrifiant, mais j’ai le cul serré. Il rentre avec un peu de mal et commence à me limer. Je sens sa queue se raidir, il jouit. Quand il ressort, la fermière prend la capote et la vide dans l’entonnoir. J’ai l’impression d’avoir avalé des litres de ...

... sperme et ce n’est pas fini. Les mecs se suivent, mon cul me fait mal. J’ai beaucoup de mal avec la sodomie.

Voilà, ils arrêtent, les trente mecs doivent être passés. Je n’ai pas compté, je n’ai pas pris de plaisir non plus, la sodomie n’est pas mon truc. Je les entends discuter.

J’entends de nouveau la fermière dire qu’ils peuvent en profiter encore s’ils veulent. J’ai tellement envie que cela s’arrête, j’ai l‘impression d’être une poupée gonflable, mon cul et ma chatte sont irrités à force d’être utilisés. Je ne suis plus qu’une chose. Mon esprit commence à divaguer, et comme toujours dans ces cas-là, l’excitation arrive tout doucement. Mon esprit travaille et quand une queue rentre en moi, je me dis que je suis à ma place. La queue quitte ma chatte pour rentrer dans mon cul. L’humiliation est totale et j’aime cela, c’est à ce moment-là que je jouis.

J’ai dû m’évanouir. Je suis dans mon box, étendue sur la paille. Mon auge est pleine, mes mains sont menottées dans le dos. Mon anus et ma chatte me font mal. Ils doivent être irrités. J’ai faim et soif. Je n’ai que cette pâtée. J’entends les truies à côté. Elles font beaucoup de bruit. Je me lève pour les regarder, immédiatement les poids se rappellent à mon bon souvenir. Je m’approche du bord et je les vois. Elles me regardent aussi. Je suis comme elles, juste un animal. J’ai été utilisée toute la journée et demain cela va recommencer, on m’utilisera de nouveau suivant le bon vouloir des fermiers.