Le stage de Clara (3)
Datte: 31/01/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: phildomi, Source: Xstory
— Le tracteur est en panne, tu vas servir à faire le transport.
Il prend la chaîne et me force à le suivre. J’ai du mal à faire avancer la charrette, ça tire sur mes trous, c’est une horreur. Il manquait plus que cela, comme si les poids qui ballottent dans tous les sens ne suffisaient pas. En plus, il avance vite et je suis obligée de faire des petits pas rapides pour le suivre. Les graviers me font mal à la plante des pieds. Il s’arrête devant un champ d’orties, me fait faire demi-tour en passant dans les orties qui m’arrivent à mi-cuisse. La brulure est immédiate. Je ne peux même pas me gratter. Le mors m’empêche de crier, de la bave coule.
Le fermier coupe les orties et les jette dans la charrette, sans faire attention. Certaines arrivent sur mon dos. Je me force à ne pas bouger. Je ferme les yeux. Le stage s’annonce particulièrement dur, je le savais, mais peut-être pas à ce point. Je sens ma chatte qui mouille. Je ne suis qu’une salope maso qui aime cela. J’ai juste envie de jouir.
Les morsures d’ortie sur les seins me sortent de ma torpeur.
— Allez, avance, sale truie. Plus vite, il faut que je prépare la pâtée aux cochons.
Je me mets en route, par chance, cela descend un peu et c’est moins difficile. Nous sommes à peine arrivés, la fermière vient vers nous.
— Luc, il faut que je la prépare. Ils sont tous disponibles. Ils seront là dans une heure.
— OK, Solange, emmène la truie.
Elle m’enlève le mors, je peux enfin remuer la bouche. Cela fait ...
... le plus grand bien. Elle détache le brancard et sort les godes.
— Regarde cette salope, elle a mis plein de mouille sur le gode. Son maître a raison, il ne faut pas hésiter.
Et en me regardant.
— on va bien s’amuser pendant ces deux mois.
Elle me donne un coup de badine pour me faire avancer. Nous allons dans un bâtiment à côté de la maison. Une grande porte cochère donne accès à une pièce ou une table trône au milieu. Plusieurs chaises sont le long du mur.
Quelques instants plus tard, je me retrouve allongée sur le dos, les mains et ma tête prises dans un carcan. Mes jambes sont attachées, mes genoux arrivent de chaque côté de ma poitrine. Des cordes ont été passées dans les anneaux de mes lèvres et attachées à mes cuisses. Mon vagin est grand ouvert. J’ai un entonnoir dans la bouche. Je ne peux pas faire un seul mouvement et je ne sais pas ce qui m’attend. Elle est partie en me laissant seule.
Un brouhaha à l’extérieur se fait entendre, la porte s’ouvre, un trait de lumière. Plusieurs personnes entrent. Ce sont des voix d’hommes, je reconnais celle de Luc, le fermier.
— Bien, messieurs, elle est à votre disposition.
Un homme s’approche, je ne vois qu’une ombre. Je sens son sexe rentrer en moi sans aucune préparation. Il ahane rapidement et se vide. Il porte une capote, je ne sens pas ce liquide chaud. C’est frustrant. Il se retire et aussitôt un autre prend la place. Je vais servir de vide couille à ces messieurs.
Alors qu’il s’agite en moi, son ...