Liliane, mère dévouée (7) - Histoires de Sexe

Liliane, mère dévouée (7)

... temps de les échanger s’ils ne te vont pas.

Mathias enfila donc ses escarpins devant ma fille et moi. Je pense qu’il s’attendait à voir des regards moqueurs, et sembla surpris de plutôt voir une lueur d’excitation dans nos yeux.

— Alors, comment te vont-ils ?

— Ils sont à ma taille. Je suis bien dedans.

— Et bien qu’est-ce que tu attends pour marcher avec ?

Mon gendre fit un aller et retour dans le couloir d’un pas hésitant, déclenchant l’hilarité générale.

— Et bien alors, je croyais que c’était facile.

Mathias fut un peu vexé.

— Non, ça va. Il faut juste que je m’y habitue.

Le voir se dandiner ainsi comme une lopette m’amusait beaucoup, mais je devais reconnaitre qu’il se débrouillait plutôt bien. Surtout pour une première fois et avec des talons aussi hauts.

— Je te conseille de les mettre tous les soirs pour t’habituer à marcher avec, sinon tu vas vraiment morfler le jour du carnaval.

— Et Philippe, Nicolas, Loic...?

— Ils sont grands et puis je leur expliquerai que tu t’entraînes pour le carnaval. Ne t’inquiète pas, ils ne te prendront pas pour une tapette. "enfin si un peu quand même" pensais-je alors intérieurement.

Laeticia regardait elle aussi avec amusement les premiers pas en talons aiguilles de son amant, quand je sortis une deuxième boîte.

— J’ai pris les mêmes pour toi aussi mon bébé. Comme ça vous pourrez former un duo.

Ma fille me regarda d’un œil suspicieux et dit alors :

— Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai le ...

... sentiment de m’être fait baiser également.

— Non, mais Laeticia, qu’est-ce que c’est que ce vilain mot dans ta bouche ? C’est comme cela que je t’ai élevée ?

— Maman. Tu ne vas quand même pas me faire la morale pour mon vocabulaire. Et puisque tu parles de bouche, je te rappelle que c’est à cause de toi si je prends maintenant la bite de Mathias dans la mienne.

— Tu ne vas pas me le reprocher ! Tu adores ça à ce qui me semble.

Laeticia me prit par le cou.

— Tu as raison maman. Tu es la meilleure des mères.

— Merci ma chérie. Mais surveille quand même ton vocabulaire. Etre une salope n’empêche pas d’avoir un langage châtié.

Durant les jours suivants, Mathias porta ses escarpins tous les soirs.

Pour le motiver, Laeticia et moi lui avions dit : " pas de talons, pas de fellation". A ma grande surprise, nous n’avons pas eu besoin de mettre cette menace à exécution. Mon beau-fils enfilait ses jolies chaussures vernies sans rechigner et il me semblait même qu’il y trouvait du plaisir. En tout cas, sa queue était toujours aussi raide que ses talons.

Il fit des progrès spectaculaires et après quelques jours, il aurait pu donner des cours à plus d’une jeune fille. Cependant, il était toujours en pantalon, ce que je trouvais gênant. Et donc un soir :

— Tiens. Mets ça en attendant que ton costume soit livré, cela devrait t’aller !

J’avais dans les mains ma jupe fuseau en cuir. Elle serrait les jambes jusque sous les genoux, puis s’évasait ensuite avec des ...