Lucie, mon premier Gangbang (4)
Datte: 28/01/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Lucie Dalmo, Source: Xstory
... trouvais leurs comportements enfantins et ça commençait à m’agacer, mais la matriarche les remit à leurs places, et s’avançant vers nous, caressa Kat en passant pour venir s’accroupir à côté de moi et me susurrer :
— Moi tu m’as terriblement manqué. Je n’attendais qu’une chose, c’est que ce repas se termine pour venir m’occuper de toi. Regardez, c’est de la douceur qu’il lui faut.
Descendant sa main de la base de mon cou, entre mes seins, jusqu’à mon ventre, elle effleurait ma peau pour me mettre la chair de poule.
Puis avec les deux mains, elle partit de mes genoux et remonta sur la face interne de mes cuisses. Je frémissais de plus belle. Une envie irrépressible qu’elle me masturbe. Tout mon corps n’en pouvait plus d’attendre d’être stimulé davantage. Je compris que je passais un cap. Je comprenais ce que j’avais toujours recherché dans ces jeux de soumission. Cette dépendance à l’attente. Ce sentiment de vulnérabilité et de non-contrôle et l’abandon complet de ses plaisirs aux bons vouloirs de l’autre.
Alors que les mecs se plaçaient autour de moi, j’entendis la Matriarche rouvrir la mallette et en sortir plusieurs choses. Des bruits de latex, de pressions sur un flacon en plastique et le bruit d’une prise qu’on branchait au secteur.
La matriarche commença alors son jeu pervers. Elle joua avec mes sens en expliquant ses actions à Monsieur M, Chef et Bob comme un professeur ferait avec ses élèves, commentant mes réactions cutanées, le gonflement des mes ...
... lèvres vaginales lorsque mon sang pulsait vers mon sexe ou la cyprine sécrétée qui se densifiait. Elle s’amusait à me pousser à bout, parcourant ses doigts sur ma peau, s’approchant des zones érogènes, attisant ma frustration. Elle faisait monter la pression, me donnant envie de crier, de la supplier de me faire jouir. Quand elle jugea que l’effet qu’elle engendrait atteignait son paroxysme, elle alluma le vibromasseur d’un coup et me le plaqua fermement sur le sexe. Le contraste était explosif. Tout mon corps se cabra dans ses liens. Je mordis mon bâillon gode violemment en expulsant un bruit sourd qui ressemblait à un cri.
Monsieur M avait sorti son téléphone portable et s’était mis à filmer la scène et quand je pus visionner mon orgasme à postériori, je vis à quel point mon visage se déformait à ce moment-là. J’étais devenue rouge écarlate, les yeux écarquillés, je ne voyais plus rien, les veines sur mon cou et mes tempes avaient triplé. La matriarche accentua la pression de la tête vibrante sur ma vulve et mon clitoris. La puissance des vibrations se répercutait dans mon corps tout entier. J’explosais encore sous la violence de l’orgasme.
Pendant ce temps, Chef et Bob s’occupaient de Kat. J’entendais des bruits de cordes et des couinements féminins intercaler de râle de mecs en rut.
La matriarche s’accroupit et libéra les sangles qui maintenaient ma tête puis retira mon harnais baillon. Ma bouche et ma gorge libérées, je refermais doucement la mâchoire qui, restée ...