1. J'ai trouvé l'eau si claire... (1)


    Datte: 27/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: bisensuel, Source: Xstory

    ... l’ascension de ce corps immense (je rappelle que je suis d’un petit gabarit), son ventre et ses seins sont comme des collines onctueuses, j’ai déjà envie de m’y perdre, et mes lèvres atteignent enfin leur but.
    
    Nos bouches se mangent goulûment, je suis sur elle, dans elle, dans un océan de chair ondulante, son peignoir s’ouvre, je relève le tee-shirt, dévoilant des seins immenses, aux petites aréoles rose pâle. Je la dévore, une odeur âcre de transpiration me frappe et manque de me faire débander, je descends prestement le long de son ventre, pas de culotte, écarte ses cuisses, et découvre une chatte glabre, immense et totalement trempée.
    
    Je me débarrasse prestement de mes vêtements tout en commençant à embrasser cette vulve magistrale.
    
    Sylvie semble déjà au bord de l’explosion, alors que je plonge mon visage entre ses cuisses, et entreprends de la dévorer.
    
    Je la lèche avec avidité, j’explore de la bouche et de la langue ce merveilleux marécage, c’est un cunni pantagruélique, elle se tord dans tous les sens, je suis tout à mon affaire, le visage inondé de mouille, mes mains malaxent son ventre et ses seins, elle halète de plus belle, et soudain, je suis frappé par un véritable geyser. Je me redresse absolument trempé et abasourdi.
    
    Je repars aussitôt à l’assaut, mes doigts entrent en action, sa chatte est étonnamment serrée, je fouille à l’intérieur, à la recherche des zones gonflées par le désir, trouve une peau d’orange, m’y applique, sa chatte s’ouvre ...
    ... largement, puis se contracte incroyablement sur mes doigts, et c’est une nouvelle explosion de foutre qui me frappe.
    
    Le jet est puissant et abondant, ça dure suffisamment longtemps pour que j’aie le temps d’ouvrir la bouche pour m’en repaître. Ma première fontaine. Ça ne sent pas super bon, ça a un goût âcre, mais c’est une expérience géniale. Sylvie est complètement barrée, j’admire cette jouissance formidable.
    
    Je l’escalade à nouveau, vais chercher sa bouche, la barbouille de sa propre mouille dans un baiser démesuré, sa main agrippe ma queue et entreprend de la branler, nos corps glissent l’un sur l’autre, lubrifiés par son abondante transpiration.
    
    Je redescends entre ses jambes, ma bouche attaque son clitoris, mes mains écartent sa chatte, j’y pousse trois doigts, puis quatre, c’est serré, je besogne, elle se contracte sur ma main, se cambre, gesticule, explose à nouveau.
    
    Le canapé est dans un état déplorable, je suis trempé de la tête aux pieds.
    
    A cause de sa corpulence, mais aussi de son mode de vie, Sylvie n’est pas très agile, et difficilement « manoeuvrable » pour le petit gabarit que je suis. Elle reste donc allongée sur le dos, et je m’active dans le paysage de vallons que forme son corps.
    
    Je découvre des sensations inconnues d’une opulence incroyable.
    
    Je suis sur elle, en position de soixante-neuf, ses mains sur mes fesses, je baise littéralement sa bouche, mais je n’arrive pas à atteindre sa chatte avec ma langue.
    
    Je glisse alors le long de son ...
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