1. Canicule


    Datte: 27/01/2023, Catégories: fh, ff, ffh, fbi, extracon, plage, fdomine, vengeance, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, Oral pénétratio, confession, Auteur: Xavier Curieux, Source: Revebebe

    ... pour une petite pisseuse et blondasse de surcroît. Qu’elle soit sa femme, passe, mais ce n’était pas à mes yeux une raison suffisante pour me rejeter ainsi. Quel goujat !
    
    Le repas fut sinistre. Le rôti était brûlé, le dessert insipide, et les vins quelconques. Il est vrai que j’y avais mis du mien pour réaliser ce fiasco. Dominique était distant, Claire sa femme une vraie godiche, et Pierre pour ne pas déparer avait donné dans le genre vieux con.
    
    Mais quand une femme est trahie et déçue, il faut s’attendre à tout. Aujourd’hui, je n’en suis pas très fière, mais à l’époque ça me semblait naturel et logique. La réponse à la fin de non-recevoir de Domi était simple : jeter Claire dans les bras de mon époux. Ça ne devrait pas être trop difficile. Connaissant mon mari, bien qu’il ne soit pas un Don Juan né ni un Casanova, si une opportunité se présentait, il ne résisterait pas à la tentation, j’en étais persuadée. Le mari fidèle deviendrait adultère grâce à son épouse volage. Une vraie situation de vaudeville. Mais quand on tire les ficelles du drame, on n’est plus dans le ridicule, mais dans le machiavélique.
    
    La jeune oiselle sous ses allures de sainte nitouche donnait des signes prometteurs. Un potentiel qui ne demandait qu’à être révélé.
    
    Premier objectif faire d’elle une amie. Je pris l’habitude de sortir avec elle, de temps à autre, nous allions à la piscine. Le lieu favorise les rapprochements. Nous prîmes des habitudes de bonnes camarades. Un jour, au sortir des ...
    ... douches, comme je lui essuyais le dos, j’ai eu la nette impression que cela ne lui déplaisait pas. Il fallait jouer mon va-tout. Je déposai un baiser dans le cou de la belle qui, surprise, se retourna et éclata de rire. Elle répondit à mon baiser par un autre sur ma joue. La suite est aisée à deviner, il faut battre le fer tant qu’il est chaud. Nous étions nues toutes les deux, je la pris dans mes bras. Je la sentis se raidir au contact de nos épidermes.
    
    — C’est la première fois. Je n’ai jamais fait ça avec une femme.
    — Moi non plus !
    
    Je mentais bien entendu.
    
    Nous avons pris l’habitude de ces baisers et caresses qui restaient somme toute assez chastes. Ne pas précipiter les choses. Elle venait parfois à la maison les après-midi, nous discutions chiffons, procédions à des essayages. Un jour, je passai à l’action, les prologues avaient assez duré. Je lui avais fait essayer, pour nous amuser, une guêpière qu’il m’arrivait de porter parfois et qui avait pour particularité de laisser la poitrine nue. Devant la grande glace, nous riions comme des collégiennes. Je la poussai, elle tomba sur le lit à la renverse. Je n’avais plus qu’à suivre. Ma bouche a pris la possession de sa bouche. Je l’ai sentie résister un moment, puis elle a cédé, nos langues se sont unies. Presque nue sur ce lit, elle était à ma merci. D’une main, je pris possession d’un sein, tandis que de l’autre j’ai investi sa culotte. Sa jeune chatte manifestement ne demandait que ça. Elle ne montrait plus aucun ...
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