1. Chroniques immortelles - Viracocha (4)


    Datte: 01/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Irina, Source: Xstory

    ... les salopes ! Je n’imaginai pas que les femmes de cette tribu pratiquent occasionnellement des caresses entre elles. Mais elles me font un bien fou !
    
    Malgré moi je leur rends leurs caresses. Je les sens onduler sous mes mains tout comme j’ondule sous les leurs. A présent, ma chatte est en feu. Nous soupirons toutes les trois de plus en plus fort, de plus en plus souvent. Les respirations deviennent haletantes, le plaisir monte à toute vitesse, et merde !
    
    J’ai joui la première, éjectant au passage l’objet du délit. Les deux femmes jouissent rapidement à leur tour. Nous nous effondrons les unes sur les autres, reprenons nos esprits. Un jus verdâtre s’écoule de mon entrejambe. Tout mon intérieur est brûlant. Il suffirait d’un rien pour que je jouisse à nouveau.
    
    — Putain... c’est quoi ce truc ? C’est ça le membre de Viracocha ? Ooooh, ma mère, quel shoot !
    
    — On l’utilise... des fois... de temps en temps, répond Taima entre deux profondes inspirations. Quand nos hommes sont partis à la chasse par exemple.
    
    — Ou qu’ils sont fatigués ! Reprends Luyana en riant.
    
    — C’est le jus qui fait ça. Il faut le griffer un peu avant de commencer.
    
    — Et quand tu as fini avec, tu le manges ! Conclut Luyana en croquant dans son légume !
    
    C’est les jambes légèrement flageolantes que nous rejoignons le campement. J’ai la chatte en feu. Je laisse mes amies retourner à leur tache, j’ai besoin de me rafraîchir, le corps et... le reste !
    
    Je me coule dans l’eau un petit moment. ...
    ... Mais ça ne me calme pas ! Mes sensations sont toujours aussi étranges et intenses. Je me caresse un peu, je pétris mes seins. Et merde ça ne passe pas, au contraire !
    
    C’est quand je sors de l’eau que je me rends compte de la présence de Pawin à courte distance. Il pèche à la lance et nul doute qu’il m’a vu. Il me sourit, mais reporte son attention sur la rivière. Je suis fascinée. Je regarde le corps de l’Indien, la musculature de son dos, la finesse des muscles de ses jambes, la vigueur de ses bras, la fermeté de ses fesses. A chaque fois qu’il bouge aussi peu que ce soit, tous ces muscles jouent, vivent, se bandent ou se détendent. Je ne peux détacher mon regard de lui et des frémissements naissent dans mon bas-ventre.
    
    Pawin s’est-il rendu compte de mon trouble ? Sans doute oui, mais je n’en ai plus conscience. Je perds pratiquement tout pouvoir de raisonnement. Il me faut un homme, maintenant, lui ! Je me suis approchée, viens me coller à lui, un peu comme une chatte friande de caresses. Je me détourne, lui lance un regard suppliant par-dessus mon épaule. Pawin a posé son harpon. Toujours en le regardant dans les yeux en lui tournant le dos, je m’agenouille, oscille des hanches, je l’appelle de mes mouvements. Je suis en chaleur, je le veux, maintenant !
    
    Je pousse un cri quand il me prend. Il a été ferme, sans être brutal. Enfin ! Je me laisse tomber sur les coudes, je me livre complètement à lui, bien cambrée, bien offerte, comme une chienne en chaleur. Je suis ...
«1...3456»