Sandrine, ma femme, en stage de soumise (4) - Histoires de Sexe

Sandrine, ma femme, en stage de soumise (4)

— Ahh, ohhh, oui Madame, ahhhh...

— Alors, vas-y ! Demande-lui !

— Ahhh, humm. Monsieur. J’ai envie de me faire enculer...

— Ah ! J’en étais sûr ! Vous êtes toutes comme ça à jouer aux chochottes, mais vous en avez envie !

Il la fait mettre en levrette sur le canapé.

— Je continue à te défoncer un peu la chatte et ensuite je te défonce le cul !

Il la fait gémir et crier, elle hurle même sous les coups de boutoir.

— Bien. Tu la veux où, maintenant, ma grosse queue ??

— Ben. Dans le cul !

— Ah tu veux te faire enculer, maintenant, salope ! Eh bien il suffit de demander !!!

Sandrine le sent écarter ses fesses. Sens le dard pointer sur sa rondelle. Puis forcer l’anus.

Elle crie. Hurle. Sans ralentir la progression du barreau de chair dans son intimité.

— Doucement. Ca rentre comme dans du beurre. Humm. Voilà. Tu as tout pris. Oh putain, tu prends ma queue dans le cul jusqu’aux couilles !!

— Oh, salope ! Tu les sens mes couilles gonflées sur tes fesses ??

— Ahhhh !! Oui. Je les sens. Ah, doucement. Je vous en prie...

L’homme commence à la prendre. Commence le va-et-vient. Sortant presque sa bite pour la replonger à chaque fois bien à fond. Et accélère le mouvement. Lui claque les fesses en cadence.

Ma femme crie, hurle ! Excitée par le spectacle, Caroline fait une fellation à Philippe.

Après avoir sodomisé Sandrine pendant un bon moment, il se retire, lui arrachant un cri. Puis il change de position et s’assied sur le ...

... canapé, lui montrant son membre.

— Allez, dos à moi ! Et dans le cul, hein !!

Sandrine est contrainte de s’empaler l’anus sur le pieu dressé. Elle se laisse glisser dessus, crie. Immédiatement, il lui imprime le mouvement. Elle se met à danser, la chatte ouverte, l’anus défoncé par la queue.

Il l’encule également un long moment en cette position, puis la fait changer, face à lui, toujours dans le cul.

Puis il se lasse et la fait se retirer.

— A quatre pattes par terre ! Je vais te « finir » en levrette !

Sandrine obéit. Il lui prend la chatte, la pénètre. Et la baise vigoureusement.

Au bout d’un moment, il accélère et jouit. En elle, au fond de la capote. Il se retire. Enlève le préservatif, lui vide sur les fesses.

Elle s’écroule, épuisée et haletante, sur le carrelage du salon.

Il est 4 heures du matin. Après l’avoir laissée récupérer, Caroline conduit Sandrine à la salle de bain.

— Allez ! Lave bien tes trois orifices, soigneusement ! Avec tout ce que tu as pris comme coups de queue, ça ne sera pas du luxe !

Une fois lavée, elle est conduite au salon. Caroline lui entrave les mains dans le dos avec les menottes et lui bande les yeux. Puis elle l’allonge sur le canapé, celui-là même où elle vient de se faire baiser pendant plus de deux heures.

Le lendemain matin, elle est détachée, on lui enlève le bandeau. Elle est conduite aux toilettes où Caroline la regarde faire pipi. Puis toilette au gant. Les trois orifices, bien sûr.

Après le ...