Notre première fois et ma toute première fois (2) - Histoires de Sexe

Notre première fois et ma toute première fois (2)

... c’est comme une petite victoire.

L’explosion de ton plaisir me rapproche rapidement du point de non-retour. J’aimerais que cet instant dure encore et encore, mais j’ai aussi très envie de me laisser aller à mon tour. Finalement, le désir de jouir est le plus fort : quelques derniers coups de reins, et je viens en toi.

On reste enlacés un petit moment, mon pénis toujours tendu entre tes cuisses. On se murmure des choses coquines en rigolant bêtement. C’est un peu notre petit moment de paradis. J’ai vraiment beaucoup de chance de t’avoir dans ma vie.

Tout en parlant, je sens quelque chose se développer. Comme si la tension remontait d’un cran. Sans rien dire, tu te dégages de mon étreinte, puis tu te retournes sur le ventre. Moi, je prends un peu de recul, me demandant ce que tu as en tête. Tu attrapes un oreiller, poses ton visage dessus et lèves les fesses ; puis tu commences à remuer de façon très suggestive, tout en me regardant à travers ta tignasse en bataille avec un sourire lubrique.

Mon sang ne fait qu’un tour et ma verge reprend de la vigueur : tu as encore envie ! Si vite après un premier rapport ? C’est la première fois. D’habitude, faire l’amour une fois te suffit. C’est vraiment une journée qui commence bien !

Je ne me ...

... fais pas prier : je passe derrière toi, prêt à te pénétrer à nouveau. Avant, je profite de ce point de vue dont je n’ai pas l’habitude : ta fente et ton œillet exposés, ton dos dénudé à cause de la gravité qui a fait tomber ta chemise... Je passe une main sur ce dos large que j’adore explorer, ce qui te provoque un léger frisson. Mais je ne perds pas de temps, et je guide mon sexe jusqu’au tien avant de débander.

Cette fois, mon désir est plus bestial. Je suis dans un état second, ne réalisant qu’à moitié ce que je suis en train de faire. Tu pousses des gémissements plaintifs dans ton oreiller, et me voilà en train de grogner comme un animal en rut. Je me penche en avant au maximum et passe un bras autour de ton ventre pour t’attirer encore plus près. Ce deuxième assaut dure beaucoup moins longtemps que le premier : en moins de trois minutes, je laisse éclater un nouvel orgasme. Si le premier était sucré, celui-ci est plutôt épicé ; j’en ai rarement eu, des comme ça. Je n’en peux plus ; je me retire et m’effondre sur le lit à côté de toi.

Oui, c’est une journée qui commence bien. Je t’en fais la remarque, et on éclate de rire. Tu viens te lover contre moi, et tout en jouant avec tes cheveux, je me demande ce que tu me feras encore découvrir...