Notre première fois et ma toute première fois (2) - Histoires de Sexe

Notre première fois et ma toute première fois (2)

J’ouvre les yeux. Il me faut une demi-seconde pour me rappeler que je suis dans ton lit.

On est ensemble depuis quelques mois déjà, mais j’ai toujours un peu de mal à croire que cette belle femme, espiègle et maligne, est ma copine. Il m’arrive encore de me réveiller et de me demander quelle est cette présence que je ressens à côté de moi.

Je me réveille toujours avant toi ; tu es une vraie marmotte. Mais ça me permet de te regarder dormir au petit matin, quand ton corps est bien reposé et apaisé par ta nuit de sommeil. Ce matin, sans que je sache trop pourquoi, le spectacle est particulièrement agréable.

Tu portes ton pyjama, une ample chemise à carreaux qui a appartenu à un de tes oncles. Je la trouve terriblement sexy ; d’ailleurs, je te soupçonne de la mettre pour dormir parce que tu sais que ça me plaît, autant que parce que ça te tient chaud. Tes cheveux bruns décoiffés pendant la nuit cachent en partie ton visage métissé. Ta poitrine généreuse se soulève lentement au rythme de ta respiration.

Je te regarde respirer quelques instants. Tu me fais envie, mais il faut que j’y aille en douceur. Je m’approche doucement et te dépose un petit baiser sur la joue. Mon bras vient s’enrouler autour de toi et mon corps se colle lentement au tien. Tu souris sans ouvrir les yeux. Qu’est-ce que tu es belle quand tu souris !

Sans rien dire, tu te tournes sur le côté jusqu’à te trouver dos à moi. Mon autre bras passe sous les oreillers pour plus de confort pendant que mon ...

... bassin s’accole à ton fessier. Je t’embrasse tendrement dans le cou, ma respiration déjà plus forte et plus profonde. Ma main te caresse le ventre à travers ta chemise.

Ta réaction ne se fait pas attendre : quelques petits coups de bassin m’informent que tu as envie, toi aussi. De bon matin comme ça, ça fait plaisir. Mais je veux te faire languir un peu. Je continue donc mes petits baisers et laisse ma main vagabonder sans toucher directement ta peau. Tu commences à remuer et à soupirer de bien-être. Je te souffle dans l’oreille exprès ; ça te rend toujours folle.

D’autres coups de bassin, plus pressants. Cette fois, ma main passe sous ton vêtement et remonte jusqu’à ta poitrine. Je te caresse du bout des doigts juste sous les seins, là où je sais que ça aura le plus d’effet. Je mordille le lobe de ton oreille, ce qui te fait gémir. Je ne me lasserai jamais de voir le plaisir que mes attouchements te procurent...

A présent, tu te tortilles pour maximiser le contact entre nos corps. Le bruissement du tissu, ton souffle qui s’accélère, les bruits mouillés de ma bouche qui continue à t’embrasser, tout ça m’excite. Nom d’un chien, j’ai tellement envie de toi ! Ma main quitte ton buste et part à l’assaut de ton bas-ventre. Je la glisse sous ta culotte, jusque dans ta toison. Une saccade dans ta respiration. Le sous-vêtement est déjà humide. Un doigt trouve ton clitoris et se met à le titiller gentiment, et voilà que tu trembles contre moi.

Une de tes mains s’entrelace ...