Féminisation presque forcée... (2) - Histoires de Sexe

Féminisation presque forcée... (2)

... comme une poupée.

— Arrête Véro ! Tu vas le rendre malade, donne le moi !

Clara passa un de ses bras sous mes jambes et l’autre derrière mon dos. Je me retrouvais confortablement installé, porté dans ses bras, contre ses seins dodus. Elle se mit à me bercer tendrement et à me rassurer.

— Ne t’inquiète pas. On joue un peu avec toi, mais c’est juste pour t’aider à trouver ta place. Avec un physique comme le tien, on ne peut décemment pas se considérer comme un homme. Tu vas voir, tu ne seras jamais senti plus épanoui !

Je fixai la géante qui prenait grand plaisir à sentir mon petit corps nu contre le sien, et finis par enfouir ma tête contre son volumineux sein droit.

Samantha cria depuis sa chambre à l’étage.

— Amenez-moi la pucelle, je ne suis pas sûre de ce qui va lui aller.

Clara qui me tenait encore dans ses bras se mit à marcher. Nous passâmes dans le couloir où de grands miroirs reflétèrent la scène incongrue d’une géante bien en chair qui portait dans ses bras un petit homme totalement nu comme une jeune mariée. Elle se déplaçait avec facilité sans que mon poids ne la gêne aucunement. Je paraissais si petit et faible, même mes cuisses étaient plus petites que ses bras. Elle grimpa les escaliers avec souplesse et arriva en haut sans aucun signe d’essoufflement. Je ne revenais pas de sa force ! Elle entra dans la chambre toujours en me portant, et Samantha nous attendait face au lit sur lequel elle avait disposé divers vêtements.

— Pose-le sur le ...

... lit. On va tenter d’habiller ce petit corps maigrichon.

Clara me déposa de manière à ce que je repose sur mes pieds. Samantha tenait entre ses mains une petite culotte en dentelle blanche.

— Tends-moi ta jambe pour que j’enfile ce slip sur ton petit cul.

Je tendais une jambe puis l’autre tout en m’appuyant sur les épaules solides de la belle. Elle remonta la culotte jusqu’à ma taille, mais fut déçue du résultat.

— Mais elle bien trop grande ! Elle va tomber toute seule si je te mets ça. Pourtant je portais ça en cinquième !

En effet, mes cuisses et ma taille nageaient dans le bout de tissus. Les deux autres amazones posaient un regard expert sur ma petite personne et Véronique donna son avis.

— Cette fine dentelle lui va pourtant très bien. Laisse le un peu marcher pour que l’on voit ce que ça donne.

Samantha me saisit sous les aisselles et me posa délicatement au sol.

— Marche petite !

Je fis quelques pas et la culotte ne tarda pas à descendre d’elle même jusqu’à mes genoux.

— De toute façon, il ne fallait pas compter sur son sexe minuscule pour la retenir. Non, elle est bien trop grande.

Voyant que cette culotte m’entravait les jambes, Véronique s’approcha de moi pour me soulever et me reposer, pieds sur le lit, sur lequel le slip finit par tomber. Véronique fouilla dans son placard et en ressortit une petite culotte d’un rose pétant, avec de petites fraises en motif.

— Je portais celle-là à mon entrée en sixième. Elle ne va quand même pas ...