1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1539)


    Datte: 20/01/2023, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... ‘bonjour’ à ma casserole… Je ne saluerai donc pas cet esclave
    
    - Bonjour Monsieur, lui répondais-je en baissant la tête servilement comprenant que pour moi, il valait mieux que je lui dise ‘bonjour’ après cette nouvelle humiliation de manque de considération à me comparer à un ustensile de cuisine, à un objet qu’on utilise. Mais j’avoue qu’en acceptant d’être esclave à Monsieur le Marquis, c’était exactement ce que j’étais devenu, un simple objet à être utilisé quand bon Lui semblera, et ce rappel à cette concrète réalité m’excitait finalement car j’étais fait pour être humilié, je devais l’accepter, je devais m’accepter tel que j’étais, ni plus, ni moins…
    
    Peu après arrivait Sébastien, lui habillé, avec du pain frais sous le bras. Comme à son habitude, il ne faisait pas cas de moi, il m’ignorait même totalement, et je n’avais même pas droit à un regard, comme venait de l’exprimer tantôt, Monsieur Jean. Mais de la part du jeune blond Dominant, c’était plus du mépris qui m’agaçait sincèrement. Et paradoxalement exacerbait objectivement mon excitation. Ce rapport qu’il entretenait à mon égard était humiliant et dégradant pourtant il produisait une forme d’ivresse et de nervosité stimulante. C’était évident, cet abaissement insidieux peut-être même imperceptible aux yeux de ceux m’entourant me maintenait dans l’abandon et la dépendance, ce dont j’avais tant besoin !... Sébastien s’asseyait près de Monsieur Jean et attendait en observant ma queue boursoufflée dans son étui ...
    ... d’acier. Je me soumettais encore, me dévouais toujours, leur versais le café, coupais le pain et tartinais ces tranches grillées de beurre et de confiture. Une fois mon service terminé, j’obtenais l’autorisation de me restaurer, assis par terre, près du Maître. J’avais faim, et il me fallut attendre le claquement des doigts du Châtelain pour me mettre à quatre pattes et dévorer avec ma gueule, tel un animal, ces nombreuses tranches de pain mouillé trempant dans un peu d’eau, formant une bouillie épaisse… A cet instant, Monsieur Jean m’interpellait.
    
    - Viens ici, salope, viens te mettre accroupi devant moi, présente-moi ton écuelle.
    
    A peine étais-je installé devant lui qu’il empoignait son sexe flasque pour le diriger vers mon écuelle. Il se concentrait quelques secondes puis pissait deux bonnes rasades dans le réceptacle que je lui tendais, tout en contrôlant parfaitement sa miction !
    
    - Aller, retourne à ta place et bois ta bouillie aromatisée de ma pisse, elle te fera le plus grand bien !, m’exigeait-il en riant à gorge déployée.
    
    Subrepticement, je jetais un œil dégouté à Monsieur le Marquis, presque impassible car seul un sourire bien pervers se dessinait sur Son visage.
    
    - Qu’attends-tu pour obéir, alexesclave ?
    
    Remis en quadrupédie, je ne disais mot et portais ma bouche à l’écuelle. De multiples lapements, j’avalais tel un chien, en contrôlant mes nausées et mes envies de vomir. Je baissais la tête dans ma gamelle, serrais et desserrais la mâchoire, fermais ...