Léa - Mon esclave (7) - Histoires de Sexe

Léa - Mon esclave (7)

... commencer à se toucher à travers sa culotte d’une main, et de l’autre, se caresser les tétons pointant très forts à travers son t-shirt. Je pouvais la voir haletée, se pinçant les pointes toujours un peu plus forts à chaque passage. La scène érotique était terminée, mais pas elle. Elle continuait, encore et encore en toute discrétion, alors qu’elle était côte à côte avec son paternel et entourée par ses frères. Elle n’eut pas le temps de jouir (fort heureusement) car elle fut interrompue par son géniteur ayant mis le film sur pause afin d’aller aux commodités.

Elle me regarda, d’un air de chienne battue, sachant que j’avais tout à fait remarqué son petit écart de conduite. Elle avait honte. Sa culotte était trempée, c’était visible au premier coup d’œil par quiconque.

Lorsque le film prit fin et que nous retournâmes à nos chambres, elle se déshabilla d’un coup d’un seul, et se mit en position pour m’offrir ses trous. À quatre pattes, le cul bien relevé, la tête et ses bras bien allongés devant elle, comme pour prier son Dieu de la délivrer de sa tourmente. Ses fesses étaient une perfection, une œuvre d’art bien arrondie, qui lorsque positionnées de cette façon, laissaient une vue imprenable sur ses orifices. Je pouvais voir sans m’approcher qu’elle était en chaleur. Elle ne pouvait s’empêcher de faire des va-et-vient toute seule avec son bassin. Il m’était impossible de résister à un tel spectacle.

Je me déshabillai rapidement, et vint lui claquer les fesses tout en ...

... me mettant en position pour lui remplir la source de son désir. Frottant mon gland contre son clitoris, je la faisais trembler de désirs ; son vagin s’ouvrait et se fermait au rythme de mes mouvements. Je m’enfonçai doucement, afin qu’elle sente ses chairs sensibles s’écarter pas à pas, centimètre par centimètre. Elle gémissait dans le coussin, tentant de ne pas alarmer sa famille à quelques mètres de nous. Je l’amenai au bord de l’orgasme en quelques va-et-vient à peine. Je ralentis donc encore le rythme, la faisant geindre de frustration. Lorsque je sentis qu’elle allait venir malgré tout je me retirai. Mauvaise semaine. Étant dimanche, elle devra patienter encore quelques heures pour que nous soyons lundi, et que la vapeur s’inverse. Je lui infligeai alors quelques claques sonores sur son mon de vénus, la faisant trembler de tout son corps.

J’ai presque cru que j’allais la faire jouir ainsi, et pourtant je n’y allais pas de main morte !

Lorsque la température redescendit légèrement, je plaçai mon membre à l’entrée de son anus. Elle ne put s’empêcher de retenir ses larmes, souhaitant désespérément que je la délivre de son malheur et sachant qu’elle n’y arriverait probablement pas par ce trou-là.

— Je vous en supplie maître ! Pas par là ! me dit-elle en chuchotant.

— Tu jouiras demain si tu es sage, alors fais la belle laisse toi te faire enculer.

En dépit de toutes les sodomies qu’elle avait reçues, son petit œillet était toujours aussi serré comme au premier ...