1. Un bonheur presque parfait


    Datte: 01/09/2018, Catégories: fh, fhh, fhhh, fbi, extracon, cocus, handicap, boitenuit, amour, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, Partouze / Groupe jouet, mélo, amourdura, amourpass, amourdram, regrets, Auteur: Saturne, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    «Le prix de la liberté »
    
    «La fête, et… »
    
    «Maxime chéri… »
    
    Pour suivre ses études, Chloé, 18 ans, vient habiter chez son oncle, loin de ses parents. Elle découvre la liberté, avec son lot de bonnes et de mauvaises surprises. Sa première année à l’université touche à sa fin, c’est le joli mois de mai… elle est toujours à la recherche du grand amour ; après quelques tribulations, elle le découvre en la personne de Maxime.
    
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    Depuis maintenant dix-huit mois, Chloé et moi vivons le parfait amour. Dès le début de notre idylle, j’ai rencontré ses parents qui m’ont vite adopté. Quand notre deuxième année de fac a débuté, ils ont accepté que Chloé vienne vivre dans ma colocation ; l’espace y est réduit, mais nous sommes heureux dans notre petit nid d’amour. Je n’ai jamais connu pareil bonheur, et je la considère comme la femme de ma vie.
    
    Pendant cette troisième année à l’université, je fais régulièrement des stages dans des centres de rééducation fonctionnelle. Ces stages m’amènent parfois à m’absenter plusieurs jours. Nos séparations sont tristes, mais nos retrouvailles enflammées… Notre couple vit de très beaux jours, Chloé sait faire de chaque minute que nous passons ensemble un moment de pur bonheur. Autant le dire : nous frôlons la perfection. Je dis bien « frôlons », car à moi, il me manque quelque chose ; Chloé est parfaite… trop parfaite. Avec elle, les situations sont claires, il n’y a jamais ...
    ... d’ambiguïté. Pourtant, j’aimerais que parfois, par son attitude, elle provoque ma jalousie : je ne l’en aimerais que plus. Mais non, avec elle, jamais de situation scabreuse pour me faire chauffer les neurones.
    
    Par exemple, quand elle va dans la salle de bain commune, je voudrais qu’elle traverse la colocation en sous-vêtements, voire nue, pour connaître les réactions de nos colocataires, qu’ils découvrent cette anatomie qui me fait toujours rêver comme au premier jour. Mais elle ne le fait jamais ; pourtant, ce n’est pas la pudeur qui l’étouffe… j’en veux pour preuve ce qui s’est passé l’autre soir.
    
    Nous étions nus dans notre chambre, moi assis par terre et adossé au grand miroir, Chloé debout face à moi, jambes légèrement écartées, les bras levés en appui contre le miroir. Je lui faisais un cunnilingus tout en la pénétrant avec trois doigts. Elle commençait à geindre doucement quand quelqu’un frappa à la porte. Je commençais à dégager ma tête pour répondre, mais Chloé plaqua son sexe contre ma bouche. Quelqu’un entra ; une voix féminine fit un petit « Oh ! » J’ai continué mes caresses, jusqu’à l’orgasme de Chloé, intense comme toujours. C’est le moment que choisit la fille pour sortir.
    
    De retour sur terre, Chloé m’a dit que c’était une colocataire, Manon, qui était entrée, qu’elle l’avait vue dans le miroir, bouche bée pendant que je la caressais.
    
    Quand Chloé a rencontré Manon le lendemain, celle-ci s’est excusée pour son intrusion. Elle était restée nous regarder, ...
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