Une chute de vélo (4)
Datte: 18/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
... cherche, me provoque.
— Cela dépend essentiellement de la nature des soins, Mademoiselle !
— Et pas du docteur ?
— Si bien sûr ! Nous ne sommes pas très nombreux à pratiquer cette médecine !
— J’ai de la chance alors ?
— Je ne sais pas qui de nous est le plus chanceux, dis-je sur un ton évasif.
— Voilà, terminé !
Je range rapidement le reste des pansements.
— Tu me ramènes dans la chambre ?
Je la soulève à nouveau contre moi, ses bras serrés autour de mon cou, mes mains sous ses cuisses fermes et douces, sa jambe enroulée autour de moi, son visage posé sur ma tête, je suis sur un nuage. Si cette fille est une drogue, je suis accro ! Cette fois, je ne cherche plus comme hier soir dans l’escalier à éviter le contact entre mon sexe et ses fesses. Ma queue est contre sa raie. Elle bouge délicatement au rythme de mes pas. Volontairement, je fais un détour en contournant la table du salon pour faire durer ce moment.
Arrivé dans la chambre, je dépose Julie sur son lit, directement couchée sur le dos. Ses bras ne me libèrent pas, au contraire. Je l’embrasse longuement et tendrement, je la couvre de baisers. Je m’attarde sur ses seins. Elle aime si j’en crois ses petits cris étouffés. Je continue à descendre, mais j’évite tout contact avec son sexe, je veux faire monter son désir avant.
Je fais demi-tour et vais lui embrasser les pieds, dessus, dessous tout y passe, elle se tortille, j’avais vu juste sous la douche. Je commence à remonter le long ...
... des jambes et joignant les caresses de mes mains à mes jeux de langue et de bouche. Plus je remonte ses jambes, plus elle les écarte pour me montrer son petit minou par lequel sa mouille commence à couler.
Petit à petit, je me rapproche du but, Julie se languit, son bassin ondule telles les vagues au bord de la mer, ses mains me caressent nerveusement les cheveux, me tirant régulièrement en direction de ma cible, que je ne quitte plus des yeux. J’en suis si proche que je peux en respirer son parfum, doux, mais terriblement excitant. Il m’attire comme les fleurs vénéneuses attirent leurs proies avant de les emprisonner.
Encore quelques centimètres et je serai au contact, en attendant, je souffle dans son sillon un vent léger, mais précis, elle frissonne en resserrant sa prise dans mes cheveux. J’ai une vue en très gros plan de son clitoris, je lui applique le même traitement, je peux observer sa réaction lorsque Julie me tirant plus fort les cheveux, me plaque la bouche contre elle en resserrant ses jambes sur ma tête. Me voici capturé par cette belle plante, qui est loin d’être vénéneuse, non, je dirais plutôt allumeuse. Prisonnier volontaire, je ne cherche pas à me libérer et la pointe de ma langue parcourt son sillon de bas en haut sur toute la longueur possible, et après quelques ronds autour de son clito, redescend avec bonheur pour reprendre une nouvelle ascension plus rapide.
Ses jambes se relâchent quelque peu, me permettant d’augmenter l’amplitude de mon ...