1. Une chute de vélo (4)


    Datte: 18/01/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Mandrakke, Source: Xstory

    J’ai adoré le goût de sa chatte, j’aimerais y retourner, poursuivre nos ébats, continuer à découvrir son corps, à la faire frissonner de plaisir encore et encore...
    
    Malgré l’heure avancée et la fatigue, mon excitation ne retombe pas, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Peut-être devrais-je retourner sur le canapé si je veux dormir, car avec cette bombe contre moi, ce sera dur. D’ailleurs, c’est encore dur ...
    
    — Hervé ?
    
    — Oui ?
    
    — Finalement, je suis contente que ce chevreuil m’ait renversée, sans cela, je ne t’aurais pas connu.
    
    — Moi aussi je suis très content de t’avoir rencontrée, mais pas que tu sois blessée...
    
    — Tu m’as épuisée rien qu’avec tes doigts et ta langue, je suis fatiguée. On fait dodo ?
    
    — Oui. Bonne nuit. A demain.
    
    Quelques minutes après, toujours contre moi, elle dormait. Moi, j’écoutais son souffle régulier et apaisant. Quelle bonne journée au final. Je m’en repasse le film dans la tête, les images, les sensations, les odeurs aussi, surtout la sienne, j’essaie de tout mémoriser, je ne veux rien oublier, pas le moindre détail... J’ai continué ainsi je ne sais pas combien de temps, jusqu’à ce que je sombre à mon tour dans le sommeil...
    
    Quand j’ai ouvert les yeux, j’ai d’abord ressenti la fatigue des activités de la veille. Le manque d’entraînement, je le ressentais : les yeux douloureux, le manque d’entrain, la totale...
    
    Très vite, j’ai aussi ressenti la douce chaleur du corps de Julie, sa tête sur mon épaule, mon bras contre ...
    ... elle, ma main entre ses cuisses, son bras posé sur mon torse et sa main dans mon cou.
    
    Bien réveillé par cette agréable constatation, je me suis mis à bander rapidement. Depuis combien de temps n’avais-je pas dormi avec une fille ? Un an et demi ou plutôt deux. J’avais du mal à m’en souvenir, comme si ma mémoire avait été bloquée. Peu importe le passé, je vais vivre le présent. Et il est merveilleux depuis hier.
    
    Je suis habitué à me réveiller quelques minutes avant le réveil, généralement entre 6h15 et 6h30. Je regarde le radioréveil, 7h42. Mon horloge interne est partie en week-end probablement. Peu importe, j’ai envie de rester sans bouger pour profiter de ce moment magique. Mais après une dizaine de minutes, mon organisme étant totalement réveillé, je dois me lever et aller aux toilettes. Je ne veux pas réveiller Julie, je bouge très lentement, je commence par retirer doucement ma main d’entre ses cuisses. D’ailleurs que fait-elle à cet endroit ? Que s’est-il passé cette nuit ? Je verrai cela plus tard. Je soulève son bras qui m’enlace, puis je dépose délicatement sa tête sur l’oreiller avant de quitter la chambre discrètement.
    
    En sortant, j’avise le trousseau de clés sur la table du salon. Je peux sortir et revenir sans la réveiller, je vais donc aller chercher le petit-déjeuner ! Je récupère silencieusement mes vêtements, m’habille rapidement et quitte l’appartement sans bruit.
    
    Un quart d’heure plus tard, je suis de retour avec des croissants et des petits pains ...
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