1. Mon premier séminaire d'entreprise (suite et fin)


    Datte: 17/01/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Cliteros, Source: Hds

    ... savais plus quoi faire. Je ne pouvais plus réfléchir tellement le plaisir avait pris le dessus sur le reste.
    
    - Pas de problème, je ne pouvais quand même pas te laisser jouir au milieu de tous tes collègues.
    
    - Ouf, oui ! Mais maintenant qu’on est là, plus la peine que je résiste. Désolé hein, mais je vais me laisser complètement aller, j’en peux plus, je veux jouir !
    
    - Ahah alors là ne sois pas désolé, j’adore ça ! Dis-moi ce que je peux faire pour t’aider.
    
    - Rien, à part m’aider à retirer mon string qui me rentre dans le cul, je serai plus libre ».
    
    Alors Marc m’aida à l’enlever, le faisant passer sous l’une puis sous l’autre de mes bottines. A présent nue sous ma robe, j’ai envoyé une photo de mon string trempé dans ma main à Gabi :
    
    « Je suis dans le verger, vas y finis moi… Je suis à ta merci… ».
    
    Quand mon copain reçu mon message accompagné de la photo, il voulu en voir plus. Il sorti précipitamment de sa chambre et sonna à toutes les portes de son étage jusqu’à trouver des clients qui possédaient une paire de jumelles. Alors il retourna à sa fenêtre et ajusta les jumelles dans la direction du verger. Effectivement il me discernait correctement à présent à côté de Marc, mais les branches des arbres masquaient mes jambes. Il ne pouvait voir que mon buste et mon visage à travers les feuillages. Gabriel jouait avec moi, adaptant les vibrations de l’œuf en fonction des mimiques de mon visage. Je sentais les vibrations se propager de plus en plus loin dans ...
    ... mon ventre, imposant à tous mes muscles de se contracter. Alors Gabi vit ma tête dodeliner et mes jambes fléchir, me faisant tomber à genoux sur le sol, tout juste rattrapée par Marc qui maintint mon visage dans ses mains et entre ses cuisses :
    
    « Ahhhhh ouiiii putain ! Oh Marc ! Soulève ma jupe ! Vite ! Viiiiite ! » Arrivai-je à dire avant qu’une vague n’explosa en moi, libérant un torrent qui submergea mes jambes recroquevillées, inondant le sol. Gabriel vit à travers ses jumelles Marc relever ma jupe au-dessus de mes hanches juste avant qu’un impressionnant flot de mouille gicle de mon entre-jambe en trois longs jets. Mon corps entier convulsa, complétement dépassé par les assauts orgasmiques issus de ma chatte en furie. Tous les muscles de mon vagin se contractèrent alors une dernière fois, tellement férocement que l’œuf fut expulsé hors de mon trou et rebondit par terre dans la flaque qui s’était formée sous moi, et je ne pus m’empêcher de laisser échapper un long cri de jouissance qui s’évapora lentement entre les pommiers.
    
    Une fois tous mes sens revenus à leur état normal, Marc m’aida à me relever et à réajuster ma jupe qu’il avait encore en partie en main. Je pris en photo l’œuf-vibrant au milieu de la flaque laissée sur le sol et l’envoya à Gabi :
    
    « Pari perdu, t’as gagné, l’œuf est sorti tout seul… Mais plus besoin que le jardinier n’arrose ici grâce à toi... ».
    
    Les conférences reprenant, nous avons tout juste eu le temps de sortir du verger et de nous ...
«12...101112...21»