Souvenirs de mon année Erasmus (4)
Datte: 14/01/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Napelast, Source: Xstory
... faire pour son boulot (il était agent commercial). Il s’était installé dans le petit bureau de ma mère, dans lequel une fenêtre avait une vue plongeante sur la piscine. À l’époque, je mouillais rien que d’imaginer ce que cet homme mature pouvait me faire. Je voulais saisir l’occasion.
Après m’être préparée, enfilé un ravissant deux pièces et mis de l’huile sur le corps, je me suis allongée sur un transat, parfaitement positionnée pour qu’il ait la meilleure vue sur mon corps de la fenêtre en question. Je suis restée là bronzer pendant une vingtaine de minutes.
À travers mes lunettes de soleil, je scrutais la fenêtre pour essayer d’apercevoir son visage, espérant qu’il aurait l’idée de me mater par la vitre. Mais cet idiot était trop concentré sur son travail, ou alors se forçait-il à ne pas se distraire.
J’ai donc décidé d’utiliser les grands moyens pour arriver à mes fins. J’ai dégrafé mon soutien-gorge, laissant retomber ma poitrine qui était déjà suffisamment volumineuse à l’époque et je me suis jetée à l’eau, en tentant de faire le maximum de bruit possible.
Effectuant quelques longueurs en pratiquant un crawl très bruyant, je lançai un regard en direction de la fenêtre : il avait mordu à l’hameçon, il était en train de me regarder.
Le plus naturellement du monde, je décidai alors de sortir de l’eau, remontant l’échelle face à la fenêtre mettant bien en évidence ma poitrine qui ballotait.
Pour ne pas qu’il se rende compte que je l’avais vu me regarder, ...
... j’évitais à présent de remonter mon regard. Au contraire, celui-ci se perdait dans le vide et je continuais mon petit numéro comme si de rien n’était. J’imaginais le sien débordant d’envie à la vue de mes formes, de l’eau ruisselant sur mon corps, sur mes fesses rebondies et sur ma poitrine. J’étais déjà toute mouillée de l’intérieur rien qu’en imaginant ce que je pouvais lui faire.
Je décidai donc de passer aux choses sérieuses. Ramassant ma serviette tombée au sol, j’en profitai pour jeter un œil furtif en direction de la fenêtre. Il n’était plus là. Probable qu’il ait eu la force de décrocher son regard et de reprendre son esprit. Il essayait de résister et c’était encore plus excitant.
Curieuse de savoir s’il pourrait résister au corps d’adolescente nu, à seulement quelques centimètres du sien, je me dirigeai vers la maison et rentrai par la porte-fenêtre. J’entendis du bruit dans la cuisine. Ma proie se trouvait là-bas. Je fis irruption dans la cuisine, ma poitrine toujours naturellement dénudée, bougeant au rythme de mes pas.
Thierry me fixa avec un air apeuré : j’étais une menace sur pattes, une grande menace pour la fidélité qu’il avait avec sa femme.
─ Il fait chaud hein ? lui dis-je.
─ Oui en effet, je suis descendu chercher de l’eau fraîche, me répondit-il, la voix un peu encombrée. Il cherchait à éviter mon regard.
─ Oui je vais faire la même chose, c’est important de s’hydrater, lui lançai-je.
Ma voix mielleuse et séduisante semblait faire son ...