1. Le coiffeur de ces dames (5)


    Datte: 14/01/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... moment où Anaïs donne brusquement un coup de reins, explosant mon hymen et se figeant. Mon hurlement est à peine atténué par la main de ma mère.
    
    Sous la douleur, je plante encore plus mes ongles dans sa chair et lui laboure le dos jusqu’au sang, puis je m’écroule sur lui, nichant ma tête contre son cou. Il se projette en avant, me transperçant de la totalité de sa verge, sous la douleur, je le mords violemment. Anaïs ne bouge plus et me demande :
    
    — Tu encaisses Larissa ? Je vais garder des séquelles avec toi ! Putain que ta chatte est serrée et tu as dû remarquer que je n’ai pas un chibre banal, non ?
    
    — Euh... Oui... Mais ne bouge plus, laisse-moi le temps de reprendre mes esprits... et à ma chatte de prendre toute la mesure de ta banane.
    
    Il attend quelques minutes et insensiblement, commence à remuer, entreprenant un va-et-vient très doux et ample en moi. Je ressens les longues pénétrations de sa verge. J’ai un peu mal au début, mais la sensation est extraordinaire de sentir ce membre si large et long coulisser dans ma moule, de le sentir me remplir puis de laisser un énorme vide ! Jamais je n’ai ressenti ça !
    
    Au bout d’un moment, je sens mes muscles intimes se relâcher complètement, j’ai la tête qui tourne un peu, mes jambes flageolent et je ronronne comme une chatte. Il s’est pratiquement retiré de mon vagin et joue de la forme si particulière de sa verge qui cherche toujours à s’échapper pour remonter se lover sur son ventre. Son gland mafflu excite ...
    ... au-delà du possible les tout premiers centimètres de mon fourreau. C’est à peine supportable, beaucoup plus fort que quand sa verge coulisse et bute au fond de moi. Du plus profond de mon corps monte une vague qui se transforme en tsunami.
    
    J’ai entendu parler de l’orgasme, mais je ne savais pas ce que c’était, quelle violence, quelle puissance, quel orgasme ! Je n’ai jamais rien ressenti de pareil. Je ne peux retenir mes larmes qui coulent sur mon visage, diluant son foutre. Je n’ai plus mal du tout, au contraire, je voudrais que ça ne cesse jamais. Anaïs ne faiblit pas et glisse en moi comme un piston dans ma gaine.
    
    Il se défoule pendant de longues minutes, variant les positions. Plusieurs fois de suite, l’orgasme revient, un deuxième, un troisième... je suis en pleine extase !
    
    Comment ce gros membre qui m’a fait si mal en me pénétrant au début peut-il donner tant de plaisir ? Je suis en extase, ma peur est un lointain souvenir. Il me prend maintenant debout, mes jambes ne me portent plus, heureusement qu’il a mis ses mains sous mes fesses et que je serre son cou de mes bras.
    
    — Je vais te faire connaître un autre plaisir, Anaïs. Jette ma mère.
    
    Elle passe un bras dans son dos, titille son petit trou puis introduit son majeur dans son cul pour aller caresser sa prostate. Soudain, Anaïs se met à crier :
    
    — Ooouuuiii ! Aaaaaah ! Putain, je jouis, je jouis enfin dans une chatte ! Larissa, tu vas être la première fille que j’insémine. Tiens... Prends tout ! Aaaaaaaah ! ...