Le coiffeur de ces dames (5)
Datte: 14/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
Le coiffeur de ces dames. 5
On dirait que c’est la première fois que cette fille branle et prend dans sa bouche le pénis d’un homme. Je suis fier d’être le premier à l’initier à ce plaisir. J’éjacule enfin et l’inconnue a un mouvement de recul pendant que je finis de jouir. Mes jets sont puissants et nombreux. J’entrevois à travers le bandeau la fille. Elle a fermé les yeux et se pince les tétons pendant que je l’inonde copieusement. Mon second jet est si puissant qu’il passe au-dessus de sa tête pour aller s’écraser sur le corps de Jeanne. Elle ouvre à peine les mâchoires pour crier son étonnement qu’un jet copieux arrive en plein dans sa bouche et sur son nez. Elle baisse un peu la tête pour recracher mon épaisse purée, mauvaise pioche, car les jets suivants s’écrasent sur son front et dans ses yeux, puis dans ses cheveux ...
Jeanne déclare que c’est le moment de me retirer le bandeau. Elle retire le morceau de tissu et me laisse enfin regarder. Ce que je vois me laisse bouche bée !
Suite :
Je reçois le coup de cœur que l’homme ne peut pas ne pas éprouver devant semblable nudité.
La fille apparaît dans sa splendeur, jusque-là secrète, et que la situation met en valeur. C’est une statue de chair sortie de la main d’un artiste de génie, ou mieux d’un dieu. Oui, certes, seul un démiurge pouvait ciseler ce cou d’une grâce indicible, ces petits seins fermes haut placés, ces hanches si fines, ces longues jambes royales. Le ton légèrement doré de la peau est ...
... caressé par les lueurs des lampes, tout participe à la faire plus belle, plus désirable qu’aucune autre fille.
Sa taille svelte, sa poitrine petite, mais charnue, sa croupe délicate, et ses bras lascifs, ses jambes douces et ses mains fines pas encore expertes, sa bouche sensuelle, je ne m’y retrouve plus.
Je suis comme dans un songe érotique, ce mélange de parties charnelles déferle sur moi et chatouille délicieusement mon potentiel de virilité.
Je l’admire, toute nue, avec un peu de sperme sur le rebord de sa bouche, sur ses yeux qu’elle a dû fermer, sur son front, dans ses cheveux. Du sperme... MON SPERME ! Je suis figé par une telle déesse, Jeanne attire soudain mon attention:
— Voilà ton cadeau Anaïs ! Je t’offre Larissa, ma fille. Elle m’a surprise avec toi et depuis ce jour, elle ne rêve que de toi, elle veut t’offrir son corps et sa virginité comme cadeau. Si tu le désires, tu peux avoir la mère et la fille, acceptes-tu ?
Larissa est toute petite contrairement à sa mère, à peine 45/50 kilos. Une belle blonde aux yeux verts comme sa mère, avec un corps merveilleusement proportionné. Il me faut un long moment avant de lui répondre, reprenant mes esprits et lui passant une serviette sur les yeux afin qu’elle puisse voir, mais laissant mon sperme sur son visage:
— Bien sûr que j’accepte ! Qui serait assez fou pour refuser deux beautés pareilles ! Tu es très belle et sexy, maquillée de la sorte, Larissa.
Quand elle peut enfin rouvrir les yeux, son regard ...