1. Les vices cachés de la campagne


    Datte: 12/01/2023, Catégories: grp, couple, couplus, candaul, grossexe, grosseins, piscine, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Oral 69, double, fsodo, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... dont l’un n’était pas son mari, révolutionnait sa conception de l’amour. L’adultère, qu’elle commettait régulièrement dans le secret, lui parut tout à coup désuet. Le spectacle vivant du pénis puissant entrant et sortant du vagin de l’ophtalmologue à cadence soutenue lui fit prendre conscience de la prodigieuse source de plaisir du sexe mâle pour la femelle. Même le sénateur n’avait pas permis cette révélation soudaine. Elle eut soudain une furieuse envie de baiser. Ses seins lui faisaient mal, son vagin réclamait d’être rempli mais le trio ne s’intéressait toujours pas à elle.
    
    Laurence était maintenant à quatre pattes et lui faisait face. Derrière elle, les deux hommes se relayaient, entrant leur queue à tour de rôle dans son giron. Elle répondait à grands coups de cul en se léchant les lèvres, les yeux clos, tout à son plaisir, tournant parfois son visage vers le miroir pour regarder l’activité de ses partenaires dans son dos. Son chignon s’était défait et ses cheveux battaient sur ses épaules au rythme de ses roulements de hanches. Elle parut découvrir Christine et lui sourit :
    
    — J’adore ça ! lui dit-elle entre deux halètements.
    
    La scène dura encore plusieurs minutes et Laurence connut un bruyant orgasme qui la fit s’effondrer sur le matelas. Alors, encore haletante, elle s’adresse à Christine :
    
    — Tu me remplaces un peu ?
    
    Julius n’attendait que ce signal. Sa queue avait pris une grosseur presque monstrueuse. Il s’avança vers Christine, toujours assise, ...
    ... empauma ses seins lourds, et lui dit :
    
    — Ça va être ta fête maintenant. Couche-toi !
    
    Christine avait trop envie d’être remplie, enfin remplie, pour résister. Le spectacle du plaisir intense de Laurence lui avait mis le feu, quand bien même n’aurait-elle jamais imaginé y assister en direct ! Barbu, velu, hirsute, sentant la sueur, Julius était le contraire de l’image de l’homme susceptible de la séduire. Mais l’appendice bestial qui surgissait entre ses cuisses était ce qu’il lui fallait sur le moment. Elle ne se posa même pas la question de son acceptabilité intime. Il avait régalé Laurence et son corps menu. Pourquoi pas elle et son corps dodu ? Le sénateur, bien membré lui-même, avait bien préparé le terrain, après tout.
    
    Quand il entra en elle, lentement, les yeux dans les siens, ce fut comme si un pieu brûlant ouvrait ses chairs secrètes. Elle ressentit d’abord une légère douleur. Puis le gland proéminent trouva son passage, creusa, fouilla et Christine ressentit alors un bien-être inouï. Ses talons rejoignirent les reins de l’artiste-peintre, qui se sentit validé et accéléra progressivement son rythme avec une savante rotation des hanches. Et Christine s’abandonna. Ce type, elle ne l’aimait pas, elle n’avait même pas d’affection pour lui comme pour le sénateur. Mais son sexe à elle avait pris le pouvoir et il demandait juste d’être visité de fond en comble par cette bite, une bite comme elle n’en avait jamais connue. Julius comprit tout. Il savait le pouvoir de son ...
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