1. Les vices cachés de la campagne


    Datte: 12/01/2023, Catégories: grp, couple, couplus, candaul, grossexe, grosseins, piscine, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, noculotte, Oral 69, double, fsodo, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... pas les empêcher de faire l’amour chez eux, même dehors. Hein, vous en pensez quoi, Christine ?
    
    Elle répondit par un sourire en coin. Elle pensa fugitivement à son sénateur qui l’avait entraînée un jour dans un sous-bois et qui l’avait fait crier de plaisir sous les arbres, le nez dans ses nichons. Elle ressentit soudain une envie de sexe. Hélas, le rendez-vous à la préfecture n’était que dans quinze jours…
    
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    Elle balança longuement sur la tenue à adopter pour se rendre à son invitation. Une mini robe très décolletée ? Un peu provocant, très « appel au sexe ». Elle la réservait à son sénateur. Elle opta finalement pour un jean moulant car elle aimait son fessier rebondi, et un simple corsage boutonné sur le devant qui s’ouvrirait à moitié sur son profond sillon mammaire, relevé par un soutien-gorge pigeonnant. Du sexe donc, mais pas trop.
    
    Elle se trouva très sage quand elle découvrit la tenue de Laurence. Vêtue d’un mini short mettant en valeur la finesse de ses jambes bronzées et d’un débardeur sous lequel elle était nue, au bénéfice de ses seins arrogants, elle aurait fait dix ans de moins que son âge si des petites rides du visage ne l’avaient rappelée à la réalité de son état civil. Boris portait une espèce de bermuda très souple sous lequel son sexe se balançait, attestant l’absence de slip. Une chemise bariolée complétait l’ensemble très décontracté, c’était le moins qu’on puisse dire.
    
    Mais la révélation la plus fracassante résidait dans la présence ...
    ... d’un autre invité, le seul, alors que Christine s’attendait à un groupe important. Elle le connaissait comme tout le village. C’était un artiste-peintre prénommé Julius, bien connu pour ses excentricités diverses mais aussi pour ses multiples conquêtes. Il avait baisé nombre de filles et de femmes mariées des environs et il suffisait de prêter l’oreille pour apprendre qu’il les avait largement satisfaites. Son physique de faune hirsute et débraillé, à la queue de cheval tombant jusqu’aux omoplates, n’avait jamais rien eu de séduisant aux yeux de Christine mais toutes les femmes ne possédaient pas les mêmes critères.
    
    D’après la rumeur, ce qui l’avait rendu attractif résidait en un mot : son pénis. Hors normes par son volume et sa raideur inépuisable, il consolait toutes celles dont la féminité ne trouvait pas d’exutoire dans la conjugalité. Peu regardant sur l’âge et le physique, il donnait généreusement ce qui était attendu, et dès que l’affaire risquait de tourner mal en raison de jalousies masculines, il congédiait sans état d’âme. Les intéressées se consolaient en se disant qu’au moins, elles avaient connu ça…
    
    Christine salua Julius d’une bise et nota son regard plongé dans l’ouverture de son corsage. Il ne l’avait jamais eue mais ce n’était pas faute d’avoir essayé. Il faisait partie de ses visiteurs occasionnels à la mairie pour des raisons futiles, rien que pour mater ses seins. Aussi sa présence dans ce lieu intime ne pouvait que le ravir. Christine n’étant pas ...
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