Chemins libertins (10)
Datte: 12/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jouissance62, Source: Xstory
... les cuisses en grand, je voyais les lèvres rasées de son sexe. Je ne m’étais donc pas trompé, la cochonne ne portait pas de slip. Elle passa un doigt dans sa fente, titillant au passage son clitoris qui sortit d’un coup de sa gangue protectrice. J’avais de la peine à suivre la route des yeux. Annick faisait tournoyer son index sur le petit bouton durci. Elle avait rejeté sa tête en arrière et fermé les yeux. Sa poitrine se soulevait de plus en plus vite. Elle enfonçait ses doigts dans sa vulve béante et je voyais très bien l’humidité luisante qui maculait ses grandes lèvres. A maintes reprises, j’avais failli sortir de la route en regardant ce délicieux spectacle.
— Tu sais, j’aimerais bien sentir ta langue, là, maintenant, que tu lèches toute ma fente, que je sente tes dents sur mon petit clito et ton doigt dans mon cul, me dit-elle en tournant la tête vers moi en souriant.
Dans mon pantalon, c’était l’incendie. Je bandais comme un taureau et je ne savais plus comment me mettre pour que ma queue ne fasse pas éclater ma fermeture éclair.
— Si tu savais comme tu me fais bander.
— Hum, montre-moi ça.
Elle porta sa main jusqu’à mon entrecuisse et caressa mon sexe par-dessus le pantalon. La situation devenait scabreuse.
— J’aimerais bien te faire décharger dans ma bouche, mais ce serait dommage, je veux que tout à l’heure, au cinéma tu gicles toute ta semence au fond de moi. Alors, retiens-toi, me dit-elle avec un petit sourire amusé.
— Non, je ne pourrai ...
... pas.
— Mais si, ne t’en fais pas, je sais que tu en es capable.
Et elle se remit à sa place, écarta à nouveau ses jambes et masturba avec frénésie sa chatte. Elle enfonçait sans retenue trois de ses doigts réunis jusqu’au plus profond de son sexe, les faisant aller et venir, puis remontait sur son clitoris pour le masturber un moment et redescendait éprouver l’élasticité de son vagin.
A ce petit jeu, elle ne fut pas longue à jouir et c’est dans un cri rauque qu’elle s’abandonna au plaisir, sa main emprisonnée entre ses cuisses qu’elle avait refermées.
Nous arrivions en plein centre-ville. La circulation comme d’habitude était très dense. Je trouvai néanmoins une place de parc non loin du cinéma. Je descendis de la voiture et allai ouvrir à ma passagère. En sortant, elle écarta les jambes, ce qui eût pour effet de découvrir le haut de ses cuisses et mon regard plongea jusqu’à sa chatte imberbe.
— Oh pardon, me dit-elle en feignant la gêne, puis elle m’embrassa tendrement la joue.
— On y va ?
— On y va !
Je la fis passer devant moi afin d’admirer sa démarche chaloupée. A chaque pas, la jupe se relevait un petit peu, laissant dépasser un bout de la lisière de ses bas noirs. Ma foi, c’était très excitant.
Nous étions arrivés devant le Rialto. Le film s’appelait: "Petits culs pour sexes bandés". Je pris les billets et Annick et moi entrâmes dans le cinéma.
Des silhouettes se détachaient sur l’écran où une femme à quatre pattes se faisait enculer sans ...