Chemins libertins (10)
Datte: 12/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Jouissance62, Source: Xstory
Chapitre X
Un des fantasmes d’Annick était de se faire prendre dans un cinéma porno. Elle me l’avait avoué quand je lui avais raconté que j’avais vu une fille sucer son mec en pleine séance. C’est vrai que c’était très excitant.
J’étais en train de regarder le film quand une jeune fille qui ne devait pas avoir plus de dix-huit ans passa à mes côtés. Ce que je vis d’elle, c’était une veste en jeans et des jambes interminables. On aurait dit qu’elle n’avait pas mis de jupe puisque la veste recouvrait le haut de ses cuisses. Je suivis la fille du regard. Elle était accompagnée de son mec et ils se rendirent vers le fond de la salle. Je me levai et les rejoignis, m’asseyant dans la même rangée qu’eux, deux sièges à côté. Le gars avait sorti son sexe et la fille l’avait englouti au fond de sa gorge et le faisait coulisser entre ses lèvres avec de petits bruits de succion. Ses longs cheveux bruns caressaient les couilles de son amant. Je comprenais maintenant pourquoi je ne voyais que ses jambes. Elle était vêtue d’un minishort que le garçon avait baissé sur ses jambes. Il lui caressait les fesses, faisant glisser un doigt dans sa raie.
Tout à coup, le mec se raidit en poussant un gémissement et la fille avala son sperme en fermant les yeux et en gloussant de plaisir. A mon grand mécontentement, ils se rhabillèrent prestement et sans même me jeter un regard, se levèrent et s’en allèrent vers la sortie.
Lorsque j’avais raconté cette scène à Annick, elle m’avait regardé ...
... avec des yeux brillants et c’est pendant que je la prenais, couchée sur elle, qu’elle me demanda de réaliser son fantasme, ce que j’acceptai bien sûr avec empressement.
Elle était belle ma petite femme. Pour l’occasion, elle avait vêtu une minijupe en cuir noir qui cachait à peine la lisière de ses bas retenus par un porte-jarretelles. Une blouse blanche toute simple nouée sur son ventre recouvrait sa poitrine nue que l’on devinait dans l’échancrure du décolleté. Des souliers à talons aiguilles venaient couronner le tout. Moi qui fantasmais sur les hauts talons, j’étais servi ! Avait-elle mis un slip ? Je n’en savais rien, elle n’avait pas voulu que ma main baladeuse aille se nicher entre ses cuisses. Mais connaissant le penchant pour le plaisir que procure un petit souffle d’air sur ses lèvres sexuelles, j’étais presque certain qu’aucun rempart n’entraverait la progression de ma queue jusqu’à sa chatte.
— On y va ?
— Tout de suite, je finis de sécher mes ongles.
Ah la la, petits problèmes féminins, tellement doux pour l’homme aimant que je suis.
— Voilà, je suis prête, tu as vu, j’ai mis à ma cheville la chaînette que tu m’as offerte.
— Je t’adore.
Il nous fallait environ une demi-heure de route pour arriver jusqu’au centre-ville. En s’asseyant sur le siège de la voiture, la jupe d’Annick était remontée assez haut pour que je puisse entrevoir le haut de ses bas.
— Chéri, regarde.
En tournant la tête, je vis qu’elle avait relevé sa jupe et, écartant ...