1. Les femmes de Grégoire : Candy


    Datte: 03/02/2018, Catégories: fh, jeunes, prost, fépilée, Collègues / Travail fdomine, BDSM / Fétichisme préservati, init, Auteur: Homme romantique, Source: Revebebe

    ... sa bouche. Il ne voulait pas savoir si d’autres prostituées pouvaient mieux le satisfaire, il désirait revoir sa douce Candy le plus souvent possible.
    
    Il fit par la suite appel aux services de Candy environ deux fois par mois et y laissait mensuellement 800 €. Comme il gagnait fort bien sa vie, ne fumait pas, ne buvait, ni ne sortait trop souvent, il pouvait payer cette jeune femme accorte et agréable pour faire semblant d’avoir une vie sentimentale. Comme Candy s’y attendait, Grégoire s’était révélé un élève très doué qui fit, au fil des mois, des progrès spectaculaires.
    
    Elle lui enseigna comment caresser le corps d’une femme, comment jouer avec ses seins et son sexe, comment ensuite la pénétrer pour que l’orgasme soit le plus formidable possible. Elle ne faisait plus du tout semblant de jouir, elle jouissait réellement, et plusieurs fois, à chacune de ses entrevues avec Grégoire. Au bout de quelques mois, les progrès du jeune homme furent tels que Candy attendait avec la plus grande impatience les appels du jeune homme et, lorsqu’elle était forcée de se mettre au lit avec les vieux vicelards qui la dégoûtaient, elle repensait aux gestes doux, aux mains chaudes et aux baisers fiévreux du super amant qu’elle avait formé et dont elle n’était pas peu fière.
    
    En dehors de leurs ébats sexuels, ils discutaient régulièrement de l’actualité, de l’art ou plus simplement se racontaient leurs vies. Candice était heureuse et flattée d’être reconnue et appréciée en tant que ...
    ... personne par Grégoire et non pas seulement vue comme une professionnelle du sexe. Le jeune homme, de son côté, était heureux d’avoir trouvé une confidente à qui il pouvait tout raconter qui ne le jugeait pas et ne se moquait jamais de lui. La relation entre Grégoire et Candice était tarifée, mais n’en demeurait pas moins une belle relation.
    
    Six mois après sa rencontre avec Candice, Grégoire fut à nouveau qualifié de puceau par la perfide Clémence, le jeune homme ne put résister au plaisir de lui annoncer qu’il ne l’était plus et avait, à présent, une petite amie formidable. La blonde ne le crut pas sur parole et exigea de rencontrer la petite amie en question. Un dîner fut organisé dans le meilleur restaurant étoilé de Paris. S’y trouveraient maître Ordier, Clémence, Grégoire et Candice. Le grand avocat avait choisi sciemment ce restaurant hors de prix, car il voulait impressionner Grégoire ainsi que sa compagne. Il voulait prouver qu’il valait mieux que les autres, car il pouvait payer un repas pour quatre personnes dans un lieu où la majorité des gens ne mettront jamais les pieds.
    
    Grégoire redoutait quelque peu ce dîner, il savait bien que Candice était intelligente, qu’elle avait de l’humour, de la conversation et saurait charmer ses interlocuteurs. Mais ne risquait-elle pas d’être impressionnée dans un environnement luxueux auquel elle n’était pas habituée. Il l’appela et lui fit part de l’invitation.
    
    — Ne t’inquiète pas mon chéri, dit-elle en riant, tu verras je ...
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