1. Les femmes de Grégoire : Candy


    Datte: 03/02/2018, Catégories: fh, jeunes, prost, fépilée, Collègues / Travail fdomine, BDSM / Fétichisme préservati, init, Auteur: Homme romantique, Source: Revebebe

    ... mouvement de tête. C’était exactement ce qu’il voulait. Candy avait la peau douce et elle sentait divinement bon, le jeune homme eut une folle envie de la prendre dans ses bras et de la serrer contre lui le plus fort possible, mais il ne savait s’il pouvait. Candy accepta le câlin lorsqu’il le lui proposa et il la tint longtemps dans ses bras. Grégoire sentit la chaleur de ce corps blotti contre le sien et, sentant le besoin de tendresse de son client, Candy avait délicatement posé sa tête contre son épaule. Le jeune homme y fut infiniment sensible. Il sanglotait à présent, repensant à l’humiliation qu’il avait subie l’après-midi même. Candy sentait les larmes de Gautier qui achevaient leur course sur son propre visage et, l’invita à lui confier ses chagrins.
    
    Grégoire fut d’abord réticent à se dévoiler ainsi face à une parfaite inconnue, mais Candy avait l’air douce et il sentait qu’elle ne se moquerait pas de lui. Peut-être même compatirait-elle. Ce fut effectivement le cas, après qu’il ait raconté sa mésaventure avec Clémence, Candy posa délicatement une main consolatrice sur son épaule.
    
    — Oublie-la, veux-tu, dit-elle à son oreille, à présent il n’y a que moi qui compte. Quand tu auras passé un moment avec moi tu ne te souviendras même plus du prénom de cette salope.
    
    Grégoire était envoûté par la voix douce et sensuelle de Candy. Il se détendit peu à peu alors que les mains de sa partenaire commençaient à explorer son corps. C’était si bon, c’était si doux de ...
    ... sentir ces mains de femme sur lui. Grégoire essayait le plus possible de lui rendre ses caresses et découvrait une peau incroyablement douce et un corps aux formes sensuelles que sa main adora explorer. Candy agissait avec la plus grande tendresse, prenant tout son temps pour bien faire les choses et demandant sans cesse à son partenaire s’il se sentait bien et si ce qu’elle lui faisait lui plaisait.
    
    — Mmmmmmhhhhhh, ouuuiiiii approuvait Grégoire, continue ma toute belle, c’est parfait.
    — Ma toute belle, s’étonna Candy ? D’habitude les hommes qui me paient m’appellent pute, salope ou sale chienne parce qu’ils croient que leur fric leur donne tous les droits. Ça me change vraiment. Et quand un beau garçon très doux m’appelle ma toute belle, princesse, mon cœur ou toute sorte de mots gentils, il me prend d’irrésistibles envies de l’embrasser.
    
    Grégoire ne savait que faire. Il avait terriblement envie, lui aussi, d’embrasser Candy mais n’osait pas. Peut-être allait-elle changer d’avis et se braquer s’il se montrait trop brusque. Mais lorsqu’il baissa les yeux sur Candy il vit qu’elle attendait le baiser. Plus petite que Grégoire d’une quinzaine de centimètres, elle inclinait la tête vers lui dans une position qui laissait admirer dans la lumière tamisée son visage aux traits fins et réguliers. Sa bouche était légèrement entrouverte et ses yeux mi-clos. Lentement, Grégoire rapprocha ses lèvres de celles de Candy et l’embrassa tendrement. Ses lèvres étaient douces avec un petit ...
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