Série « Les voisins » Épisode 9 : Claire découvre que son amie Évelyne est une véritable salope qui baise avec son mari.
Datte: 11/01/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... mes côtés essayait de me séduire discrètement. Ce fut la même chose lors du repas, sauf que Patrick devenait un peu plus entreprenant, sans jamais être trop direct.
Avec l’alcool, j’avais très apprécié d’être courtisée, surtout que j’étais un peu en manque d’affection. Évelyne avait tout prévu dans mon dos, elle savait que son ami (probablement un ex amant), était très séduisant beau parleur et qu’en insistant un peu, il avait des chances de me séduire. Elle m’avait fait boire plus que de raison, j’étais euphorique et heureuse que l’on s’occupe de ma petite personne. Lorsque nous les avons quittés, je riais aux éclats pour un oui ou pour un non, je n’étais pas dans mon état normal et je ne marchais plus droit. Tout naturellement, Évelyne demanda à Patrick de m’amener jusqu’à ma porte, je lui avais pris le bras afin que je ne tombe pas en rentrant chez-moi.
Je ne sais plus très bien comment cela s’était passé exactement, si je l’avais invité à rentrer ou s’il avait forcé ma porte mais dans un moment de lucidité, je m’aperçus que je me retrouvais en sous-vêtements dans ses bras sur canapé. Lui était torse nu et en boxer, nous nous embrassions à pleine bouche, nous nous caressions intimement : « Patrick ! Non ! Je ne peux pas enfin que faisons-nous ? » Sans répondre, il reprit possession de ma bouche et sans savoir pourquoi, je l’avais laissé se coucher sur moi. L’alcool sans doute, son beau corps chaud qui pesait sur moi, ses mains baladeuses et son odeur étaient de ...
... véritables aphrodisiaques. Sa langue tourbillonnant autour de la mienne et sa main m’enlevant ma petite culotte, me faisaient frémir de plaisir.
Des frissons parcouraient mon corps en attente, je sentis sa verge en érection au bord de mon intimé, son gland au contact de ma fente mouillée par le désir me fit couler un peu plus de cyprine, j’avais quitté ce monde, à mille lieues de penser à mon mari, à mes amis, je ne me rappelais même pas le prénom de mon partenaire. Doucement il entra son sexe petit à petit et s’enfonçait toujours plus loin me remplissant entièrement le bas ventre. Soudain je contractai tous les muscles de mon vagin, se crispant autour de sa queue que je ressentais très dure et si puissante.
Je m’abandonnai complètement, c’était un plaisir indescriptible de sentir sa verge aller et venir en moi. Mes mains tremblaient en serrant les coussins, mon cœur battait la chamade, ma respiration haletait, je gémissais tellement, qu’encouragé par mon comportement, il accéléra ses va et vient. Ils devenaient maintenant puissants, plus brutaux et je sentais à nouveau cette fameuse chaleur qui envahissait tout mon corps. Je serrai ses belles fesses entre mes mains et je lui demandai de me prendre plus fort encore. Je savais que l’orgasme n’était plus très loin. Après quelques coups de reins bien maitrisés, je jouis avec bonheur avec un sexe dans ma fente, bien plus gros que celui de JP, cela ne m’était pas arrivé depuis un long moment.
Très peu de temps après, Patrick ...