1. Série « Les voisins » Épisode 9 : Claire découvre que son amie Évelyne est une véritable salope qui baise avec son mari.


    Datte: 11/01/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... pendant les vacances. Ce ne fut pas le cas pour elle, Didier avait fait en sorte qu’elle perde tous ses droits. Côté financier, étant la propriétaire d’une boutique de prêt à porter et mon mari, gérant de sa société, ils n’avaient pas de problème d’argent.
    
    Didier avait vendu la maison très rapidement et je ne voulais plus entendre parler de voisins, je vivais en solitaire entre mon travail, mes enfants et mes parents, cela me suffisait amplement. Après le départ de JP, j’avais pris l’habitude de me passer des hommes, seulement quelques mois plus tard, j’avais très envie de faire l’amour, n’ayant aucun amant, j’avais téléphoné à Patrick qui m’avait laissé sa carte. Là encore j’avais regretté, il fut pourtant un bon amant, mais je n’avais pas pris un plaisir immense et nous n’avions rien en commun, nous n’avions aucun sujet de conversation hormis le sexe.
    
    À partir de là, je décidai de faire une croix sur les hommes qui ne pensaient qu’au sexe car j’avais besoin de sentiments pour faire l’amour, j’attendais donc le prince charmant afin qu’il vienne me délivrer. Ne désirant pas tomber dans le célibat et dans la morosité, j’avais toujours gardé l’espoir de trouver cette perle rare. Pour cela, j’aimais me mettre en valeur en m’habillant toujours un peu sexy. Je pouvais dire d’après mes collègues et le nombre de clients qui me courtisaient régulièrement que j’étais une femme qui plaisait à la gente masculine. Je soignais mon joli minois, mes yeux bleus et ma chevelure blonde ...
    ... mi longue étaient un atout.
    
    Malgré mes deux enfants, mon corps n’en avait pas trop souffert, je n’avais pas une poitrine très opulente, cependant mes seins étaient encore fermes. Mes longues jambes fines et musclées d’une femme de 1,68 m, sur les talons hauts que je portais, mettaient en valeur la cambrure de mon fessier. En juin 2006, soit deux ans après mon divorce, je venais de fêter mon quarantième anniversaire, lorsque j’avais rencontré Pierre, un très bel homme de mon âge, un client que j’avais conseillé, dans le rayon librairie du supermarché où je travaillais. Il était venu plusieurs fois dans la même semaine, je n’en étais pas tombée amoureuse mais incontestablement, cet homme me plaisait et m’attirait.
    
    Avant d’accepter sa première invitation à boire un verre en ville après mon service, j’avais attendu deux semaines entières où il était venu me voir spécialement tous les jours. Pierre était particulièrement cultivé et notre conversation fut très courtoise. J’étais donc retournée le lendemain avec lui dans la même brasserie après mon travail. Il montrait son intérêt pour moi mais restait très correct, il se montrait très patient, il attendait que je sois prête. Je m’apercevais que je ne m’ennuyais pas avec lui, il était parvenu après le troisième rendez-vous, à que j’accepte enfin son invitation au restaurant où ce soir-là, je m’étais dévoilée sur ma vie sentimentale et lorsqu’il m’avait raccompagné, nous nous étions embrassés pour la première fois, avant que je ...
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