1. Wolf story


    Datte: 31/08/2018, Catégories: fh, fhh, extracon, Oral fantastiqu, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Hidden Side, Source: Revebebe

    ... Vous préféreriez rester seule avec ma femme, peut-être ? Je comprends, il y a certaineschoses difficiles à faire devant un mari…
    — J’aurais jamais dû te parler de ça ! s’énerva ma moitié. T’es vraiment trop con !
    — N’allez pas vous méprendre, Olivier, susurra la mère Robert. L’exaltation féminine est un catalyseur redoutable, en matière de magie, que ce soit noire ou blanche. C’est pour cette raison, d’ailleurs, que nos grands-mères enduisaient leurs balais de substances aphrodisiaques…
    — Et hallucinogènes, aussi, certainement ! M’enfin bon, je peux pas comprendre, il n’y a jamais eu de sorcières dans ma lignée…
    — Toi qui es si malin, pourquoi tu ne me lèches pas ! ? explosa soudain Sophie
    
    Je la dévisageai, interdit.
    
    — Ben oui ! Pour une fois, sers-toi de ta langue, au lieu de raconter toujours les mêmes conneries !
    — Mais, chérie…
    — T’as pas compris que je suis prête à TOUT, pour me sortir de là ! ?
    
    Je jetai un regard en coin à la voyante. Quoi ! ? Faire « ça » devant cette gouinasse ? Goguenarde, Ludmilla me souriait de toutes ses dents.T’inquiète pas ma poulette, me dis-je en m’installant entre les cuisses relevés de mon épouse,je vais te clouer le bec, tu vas voir !
    
    J’entamai mes manœuvres par quelques bisous et effleurements légers aux abords du théâtre d’opération, avant de doigter délicatement les nymphes gonflées, à la viscosité prometteuse. L’état d’excitation de Sophie, liquéfiée avant même que j’attaque les choses sérieuses, confirmait sa ...
    ... formidable réceptivité aux attentions publiques. Écartant la crête de ses petites lèvres rougies, je savourai un instant l’odeur de sa mouille abondante, avant d’étaler du bout du nez le nectar poisseux sur ses zones sensibles.
    
    Tandis que je me lançais plus franchement dans mon exploration linguale, la mère Robert reprit la lecture de ses colonnes de texte bien serrées, relevant de temps à autre la tête de son grimoire pour mater le spectacle. C’est que ça la faisait saliver, la vieille cochonne !
    
    À force de mignarder Sophie dans tous les sens, celle-ci commençait à sérieusement s’échauffer. Soudain, sans prévenir, les doigts tremblants posés sur ma tête ont agrippé mes cheveux à pleines poignées, m’écrasant la bouche sur sa fente en fusion. Le nez dans sa touffe, je raclais son clito comme je pouvais, pendant que madame, elle, poussait une série de « Gnnniiiiii ! » suraiguës. Et Sophie de me tordre les cervicales tout en m’écrabouillant les oreilles entre ses cuisses ! Mais vas-y donc ! Je suis l’homme en caoutchouc, c’est bien connu !
    
    Arrivée au sommet de son orgasme (et moi, à la limite de mon oxygène), ma douce moitié poussa un cri d’amour genre Cracoucass, avant de relâcher son étreinte sur mon cuir chevelu. Lorsque la peau satinée de ses gambettes se décolla enfin de mes tympans avec un « plop » douloureux, je recouvris l’ouïe (minorée d’un léger acouphène) et accessoirement ma liberté de mouvement. Essuyant d’un revers de main la cyprine sur mon menton, j’entrouvris ...
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