Oncle John (5)
Datte: 10/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: balista, Source: Xstory
... elle me demanda si cela me gênait de récupérer la chambre de John et de laisser la nôtre à Dominique son fils. Pourquoi pas, maintenant effectivement la chambre du maître du ranch me revenait de droit, mais cela me faisait bizarre de recoucher avec ma femme, je n’y étais plus habitué. C’était Anne qui me tenait au chaud maintenant et je savais que ce con de Dominique était un peu coincé au niveau de la zigounette.
— Et comment va-t-on faire ? Tu te souviens la vie qu’il a menée à son père quand il l’a vu lorgner le décolleté de sa femme, alors tu penses un homme avec deux femmes.
— Mais je peux essayer de le séduire.
— Tu espères qu’il est aussi bien monté que son père, je vois que cela commence à te manquer ; c’est à vérifier à la piscine, on pourrait l’y inviter avant le souper.
— Bonne idée. Tu l’invites ou je l’invite ?
— En principe, c’est à la bénéficiaire de faire le travail.
— Oui, mais c’est un peu téléphoné, sois sympa mon chéri.
— Comme d’habitude, tu me prends par les sentiments pour me cocufier, moi qui espérais que cela redeviendrait comme avant, je vois que je peux faire ceinture. Mais peut-on lutter contre cette drogue ? Dire que tu n’as même pas l’excuse d’être sa veuve pour sembler en manque.
— Je te promets que je te revaudrai cela.
— Comme la dernière fois que tu voulais me prouver ton amour et que je t’ai retrouvée en train de chevaucher John. Ne fais pas de promesses qui ne peuvent que me décevoir. J’espérais, mais je vois ...
... qu’il n’y a rien à faire. Si tu repars dans ce travers, je pense qu’il serait mieux de divorcer pour les deux ; tu pourras bien rester ici en amie, sans problème, mais ce sera plus clair pour tout le monde.
— Mais mon doudou, je t’aime.
— Ne sois pas hypocrite, quand tu te faisais ramoner par John, objectivement tu avais une pensée pour ton pauvre mari qui devait faire des parties de cinq contre un pour compenser. Non bien sûr, toute à ton addiction et moi, j’étais là, en fait je ne sais pas pourquoi ? En fait, je vais un peu le questionner et l’affranchir éventuellement de la situation suivant la discussion.
Plus tard, au bord de la piscine, après que nous eûmes fait quelques traversées, devant un bon verre de Bourbon, je me permets d’entamer une discussion avec Dominique.
— Au fait, tu n’es pas venu avec ton épouse ! Elle est malade ?
— Non, on est en instance de divorce. Je ne suis pas large d’esprit et je l’ai surprise avec mon patron, sans que cela laisse beaucoup de doute sur leur activité.
— Excuse-moi, je ne savais pas.
— J’étais peut-être un peu trop rigoureux sur les principes et manquais probablement de fantaisie, trop souvent absent de la maison pour le travail, je suis sans doute aussi fautif.
— Je sais que tu t’étais séparé avec ton père parce qu’il avait des regards indiscrets sur ta femme.
— S’il n’y avait eu que des regards, mais je sentais bien qu’il avait des envies à son égard et qu’elle n’y était pas insensible.
— C’est bizarre, ...