Oncle John (5)
Datte: 10/01/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: balista, Source: Xstory
... jeunes années d’escalade. Enfonçant avec rage mon trombone, je mets en route mon piston et lui joue rhapsody in blues dans l’intégrale. J’ai l’impression que j’ai regagné une partie de ce qui était parti sur le devant de la scène. Dans la joie de retrouver mes marques, je me laisse aller et sans que j’y prenne garde, dans un déchaînement de cymbales, j’éructe de la queue, j’arrose son cul en feu, cela fait déjà plusieurs jours que je n’ai eu un tel plaisir.
— Bon, maintenant, tu sais comment faire, me dit Samuel dont la queue servait d’amuse-gueule à mon épouse. Regarde bien comme elle s’applique à me faire repartir pour une autre fois, elle le fait à merveille, c’est une chose qu’il faudra qu’elle apprenne à mon épouse.
Ses sens rassasiés, mon épouse s’endort d’un sommeil que j’aurais du mal à qualifier du juste, mais au moins profond, jusqu’à ce que dans un sursaut, elle crie « John ! »
Merde, même dans ses rêves, je n’y tiens plus de place, même après tout le mal qu’on s’est donné. Enfin, on fait ce qu’on peut comme on peut.
La vie continue, enfin pas éternellement
Jessica étant complètement accro à John, j’ai perdu espoir de la faire revenir comme avant et mon Indienne me convenait parfaitement. Mes relations avec Samuel avaient aussi évolué devant sa gentillesse, parfois je me prêtais à le masturber et même une fois je lui ai pris le jonc pour le sucer, il était aux anges, il m’a demandé s’il pouvait aussi m’enculer, là, je n’étais pas d’accord, en tout ...
... cas pour le moment, même si je sais qu’il apportera tout le soin que l’on peut attendre.
Deux ans après notre venue, je m’étais installé définitivement dans le ranch et John me l’avait vendu pour une bouchée de pain et les soins de ma chérie qui était de plus en plus demandeuse finirent par avoir des conséquences.
Comme dit le proverbe, tant va la cruche à l’eau, à la fin elle se brise et un matin, éperdue, Jessica, quittant le lit de John arrive en pleurant.
— Je crois qu’il est mort, il m’a prise ce matin, comme d’habitude, mais au moment d’évacuer sa semence, il s’est raidi et s’est écroulé sans vie. C’est un cauchemar.
Effectivement, John était parti comme le président Félix Faure, en piochant dans la motte d’une gourgandine.
Après des obsèques conséquentes, avec nombre de femmes des environs qui souhaitaient rendre un dernier hommage à celui dont elles avaient probablement bénéficié des faveurs, souvent accompagnées d’enfants ayant un petit air de famille ; on fit venir son fils pensant récupérer son héritage. Mais John m’avait légalement vendu son domaine, il était venu pour rien, enfin pas tout à fait, Jessica, le voyant, vit John ressuscité et n’eut de cesse à ce qu’il s’intéresse à elle en espérant que tel père tel fils. Elle ne m’en parla même pas, même si nous étions toujours mariés. Elle fit tout pour qu’il reste pour dormir et lui offrit la chambre de son père, ce qu’il refusa, il ne voulait pas prendre la chambre d’un mort.
Tenant à son idée, ...