L'histoire incroyable de Nina et Joy. (1)
Datte: 09/01/2023,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: rally, Source: Xstory
... Ha !
Cette fois-ci, je n’arrivais pas supporter. Je suis partie dans les toilettes pour aller pleurer. Je ne voulais pas que l’on me voie pleurer. Il y eut, Nina, qui est arrivée. C’est une fille de ma classe. Elle est gentille. Elle est venue me réconcilier.
— Hé ! Ne pleure pas !
— J’en ai assez que l’on se moque de moi.
— Tu ne dois pas écouter leurs conneries !
J’ai commencé à témoigner de la sympathie pour elle. Nina est un peu plus grande que moi. Elle a des cheveux blonds, un peu plus longs que les miens. Des magnifiques courbes. Je l’envie beaucoup. J’ai l’impression de faire pitié à côté d’elle. Voyant que mes larmes n’arrêtaient pas de couler, elle me prit dans ses bras. Ma tête reposant sur sa douce poitrine.
— Tu ne dois pas te laisser aller.
— Ils disent que je suis grosse.
— Mais non ! Tu ne dois pas faire attention à ce qu’ils disent.
— Ce matin, un homme m’a tripotée.
Tandis que je pleurais sur elle, elle me consola.
— C’est affreux, tu dois être plus prudente.
La présence de Nina était d’un grand réconfort. Arrivée jusqu’en salle des cours, je posais ma lourde poitrine sur la table. C’était difficile à supporter toute la journée. Ce sont deux poids de plusieurs kilos que je dois porter à longueur de journée. Les gens n’ont pas idée de ce que je dois supporter tout le temps. Nina essaya de me prévenir que je ne devais pas me tenir ainsi.
— Tous les garçons te regardent. Essaye de mieux te tenir.
C’est ...
... vrai que j’avais les seins écrasés sur la table. Les boutons de ma chemise étaient prêts à exploser.
— Je m’en fiche, j’ai l’habitude.
Je me sentais un peu comme l’attraction de la classe. Je ne sais pas si c’est par pitié. Mais Nina est restée avec moi. Nous avons discuté pendant les temps de pause. Au fil de la discussion, Nina me questionna sur ma famille.
— Tu as des frères et sœurs ?
— Un frère. Mais il est parti habiter très loin.
— Moi aussi, j’en ai un. Sa copine l’a largué !
Puis, elle m’a parlé de ses parents.
— En ce moment, mes parents n’arrêtent pas de s’engueuler. J’ai peur qu’ils divorcent.
Puis, elle m’a questionnée sur les miens.
- Et toi ? Tes parents s’entendent bien ?
- Je ne les vois pratiquement jamais !
Elle se sentit gênée d’avoir posé la question.
— Ah, je vois. Je suis désolée.
J’étais contente qu’une fille s’intéresse à moi. En règle générale, on m’ignore. Au moment de rentrer, j’avais peur de rencontrer un pervers dans le train. Nina a accepté de m’accompagner. Nous avons pris le train ensemble. Je suis rentré chez moi. J’avais une grande maison. J’étais seule la plupart du temps. Cette solitude, j’y étais habituée. Cela faisait partie de ma vie. Mes parents travaillaient beaucoup. Je n’avais pas hérité du physique de ma mère. Elle était jeune, belle et plaisait à tous les hommes. Une poitrine généreuse, des magnifiques fesses. Bref, tout le contraire de moi. Je ne supportais plus mon physique.