1. L'histoire incroyable de Nina et Joy. (1)


    Datte: 09/01/2023, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: rally, Source: Xstory

    Journal de Joy, mercredi 14 mai 2042
    
    Voici l’histoire incroyable que j’ai vécue et qui changea ma vie radicalement. C’était tellement invraisemblable. Cependant, je dois commencer par le début. Le jour de ma rencontre avec une fille.
    
    Je m’appelle Joy. Je suis de petite taille, ce qui m’a valu de nombreuses moqueries à l’école. Une poitrine énorme. Des seins de la taille de deux ballons de foot. Il est difficile de trouver des vêtements à ma taille. J’ai l’impression que toutes mes chemises sont trop petites. Alors je suis obligé de compresser mes seins pour réussir à les faire rentrer dans mes vêtements. Ce matin encore, je me trouvais face à un cruel dilemme pour m’habiller. Après avoir réussi, tant bien que mal à attacher mon soutien-gorge. Je ne trouvais qu’une chemise à me mettre. Impossible de la fermer entièrement, j’étais forcé de laisser le haut ouvert. Je suis parti ainsi à l’école. Je pris le train, comme d’habitude. Des hommes avaient le regard plongé sur ma volumineuse poitrine. J’avais honte d’être reluquée ainsi. Il faut dire qu’avec ma petite taille, on ne pouvait voir que ça. Mon décolleté à vue plongeante était une sorte d’invitation à venir se rincer l’œil, sans avoir besoin d’aucun effort.
    
    J’avais l’habitude, depuis toute petite, j’étais toujours celle qui avait les plus gros seins. Il est arrivé parfois qu’un homme tente de me toucher.
    
    Comme ce jour-là, dans le train. Un homme s’approcha de moi. Il était assez vieux, la soixantaine. Sans ...
    ... aucune honte, il se mit à me tripoter le sein gauche. Il y allait carrément, sa main s’enfonça sur la masse de chair. J’ai tenté de le repousser. Je m’éloignais. Ensuite, il m’a coincée contre le mur. De nouveau, il plongea sa main sur mon sein gauche. Malgré, que j’essayais de me débattre, je savais que je ne pouvais rien faire. Après deux minutes de tentatives, j’ai fini par abandonner. C’était inutile, car il pouvait faire ce qu’il voulait avec moi. Il était trop fort. Il a pris ma poitrine à pleine main. Il ne s’est pas gêné pour palper mes seins devant tout le monde. Je me trouvais coincée contre le siège et le mur. Je l’ai laissé faire. J’avais tellement honte de moi. Je me faisais tripoter par un inconnu dans le train. Les gens regardaient, mais ils ne bougeaient pas. Personne n’est intervenu. Ils ont tous préféré assister au spectacle qui s’offrait à eux.
    
    Tandis qu’il me pelotait et appuyait avec les deux mains enfoncées dans ma chair. Je sentais son souffle chaud. Je n’ai pas bougé, j’ai attendu. Je l’ai laissé me manipuler comme un jouet. Il a continué ainsi jusqu’au prochain arrêt. Je suis rapidement descendu.
    
    Je me sentais souillé. J’avais envie de pleurer. Je n’ai pas su me défendre, ou même réagir. Qu’aurais-je pu faire ? En arrivant à l’école, c’étaient les habituelles moqueries.
    
    — Salut, la grosse !
    
    — Attention, t’as les nibards qui vont s’échapper de ton soutif ! Ha ! Ha ! Ha !
    
    — Elle ne doit pas avoir de soutien-gorge à sa taille ! Ha ! Ha ! ...
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