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Séduction délicate de la soeur de ma mère (31)
Datte: 08/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... proposai-je en lui prenant le bras. — Rooo c’est encore un de tes trucs pour me peloter ! s’indigna-t-elle mollement en s’exécutant. — Tu veux un massage pour te détendre ? (étendue sur moi, elle exprima son approbation par un hochement de la tête) je vais t’aider à t’endormir. Lui murmurai-je en passant mes mains le long de son dos. — Hum... t’es un expert des caresses avec moi, ça me décontracte, tu peux pas savoir ! (elle colla sa joue contre la mienne, preuve de son bien-être) dis, tu voulais me dire quelque chose toute à l’heure ? — On en parlera demain. Lui répondis-je. — Comme tu voudras, mais tu continues encore un peu, j’aime sentir tes mains sur moi. Ajouta-t-elle. Véro ne se doutait pas du supplice que je subissais. Puis, comme mon sexe ne m’obéissait plus, je décidai de stopper ce véritable calvaire en prétextant le besoin de boire un verre d’eau. Compréhensive, ma douce compagne reprit sa place initiale en se mettant sur le dos, la poitrine à l’air. Dans un sourire, elle tira lentement le drap sur elle, congédiant par la même occasion mes obsessions du moment... Étant parti aux aurores, je ne l’avais pas vue au petit-déjeuner. Une tonne de boulot m’attendait sur mon bureau. Après un café en début d’après-midi, alors que je bavardais avec mon bras droit en fumant une bonne cigarette, mon portable vibra. Véro venait de m’envoyer un texto futile. - que veux-tu manger ce soir ? Ayant l’esprit ailleurs, je ne sus que répondre sur le coup et ...
... machinalement je tapai - des pâtes - sans rien ajouter. Mon absence de plus d’une semaine n’arrangeait guère mon emploi du temps déjà chargé. Je donnais des coups de fil à répétition sans me préoccuper de l’horloge et vers 21 heures, j’étais encore au bureau. Cette boîte japonaise spécialisée dans les hautes technologies recevait des palettes à n’importe quelle heure et quand l’équipe de nuit se pointa, j’abrégeai cette rude journée. En ouvrant la porte à 22 heures, j’entendis le son de la télé. Immédiatement, Véronique tourna la tête pour se lever dans la foulée. Elle était en mode décontracté avec cette fois un pyjama bleu, dont la veste, parfaitement boutonnée, me signifiait que ma quadra n’était pas d’humeur à batifoler. — Je ne t’attendais plus, alors j’ai mangé avec les garçons et je t’ai gardé le gratin au four. Me dit-elle en enfilant ses gants pour sortir le plat du four. — J’ai une de ces faims ! Houu, ça sent bon (je me penchai pour humer les pâtes) t’es une sacrée cuisinière. La complimentai-je en dépliant ma serviette. — Tu parles... faut pas sortir de Saint-Cyr tu fais bouillir de l’eau et ensuite tu y mets les macaronis (elle me parlait en restant debout, les bras croisés) après, tu rajoutes du gruyère et le tour est joué, je vois que tu te régales. Remarqua-t-elle. — C’est tout simplement bon, t’es une super cuisinière. La complimentai-je en terminant mon assiette. — Han... je suis toujours super ou top avec toi (elle se passa la main dans les ...