1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (31)


    Datte: 08/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    Résumé des derniers chapitres...
    
    A l’époque, il n’y a pas si longtemps, je venais d’avoir 23 ans. Fils unique, mes parents Anne et Michel avaient toujours été aux petits soins pour moi, de trop sans doute. Ma mère avait une sœur cadette, Véronique, fraichement divorcée habitant à Bordeaux avec ses deux garçons, Oscar et Jules âgés de 10 et 8 ans respectivement.
    
    Je terminais mon cycle d’études par un stage en entreprise et au cours d’un bref séjour à Paris, ma tante m’avait proposé de l’effectuer dans sa région. Evidemment, je saisissais cette opportunité avec l’aval de ma mère, heureuse de savoir que sa petite sœur, plus jeune de sept années ne se retrouverait pas seule. Après une drague subtile, je commettais l’irréparable. Nous avions couché ensemble une première fois, puis une seconde et ainsi de suite. Nous prenions du bon temps et celle que j’appelais ma belle quadra s’épanouissait de jour en jour. Mais nous étions réalistes quant à la situation, sachant avec pertinence que notre relation ne déboucherait sur rien. A l’issu de nombreux rebonds, nous restions en couple unis par une rare complicité, une entente parfaite sur tous les plans. Enfin, nous envisagions l’impensable, faire un enfant.
    
    A la suite de la naissance d’Hugo, Véro se retrouvait mère de famille pour la troisième fois. Les relations avec sa sœur s’étaient passablement dégradées, autant du fait de coucher avec ma propre tante que de l’avoir mise enceinte. Elle ne lui parlait plus, estimant que Véro ...
    ... avait trahi sa confiance. Dorénavant, je ne rendais visite à mes parents que de manière occasionnelle.
    
    J’avais depuis mes quinze ans entamé un fantasme sur ma tante Véronique. A chacune de ses venues à Paris, je contemplais cette grande blonde mesurant 1m72. Avec sa nuque élancée et ses jambes longilignes, elle incarnait à mes yeux l’idéal féminin. Pourvue d’une poitrine flirtant les 85 b et d’une silhouette en forme de sablier, elle s’entretenait en suivant des cours de fitness, conservant ainsi son poids plume de 55 kilos.
    
    Notre différence de 17 ans et quelques mois ne freinait en aucun cas notre complicité peu commune. Nous nous étions avoué nos sentiments, ce qui n’empêchait pas ma quadra de culpabiliser de temps en temps. Timide de nature, elle assumait mal le comportement légitime de sa grande sœur, laquelle lui avait envoyé en pleine figure qu’elle me volait ma jeunesse.
    
    Concernant le job, j’avais intégré une boîte de hautes technologies située au Japon. Je connaissais personnellement le boss, Monsieur Zusu ainsi que son fils Ken. Je gérais le site Marseille et il m’arrivait de me rendre fréquemment au siège basé à Tokyo.
    
    Chaque dimanche soir, aux alentours de 18 heures, nous avions droit à un coup de fil. Ma mère prenait des nouvelles de son petit-fils et de ses neveux, mais de sa sœur, jamais. A ses yeux, elle n’existait plus et elle lui tenait une rancune tenace. Ma tante souffrait de cette situation, se considérant à tort comme unique responsable de cet ...
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