1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (31)


    Datte: 08/01/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... de la tête aux pieds, même si elle m’avait avoué ne pas comprendre mon penchant pour cette extrémité de son anatomie.
    
    Ce soir-là, nous parlions de choses et d’autres quand mon portable sonna. Alors que Véro avait déjà entamé un petit slow avec ses orteils nus, le numéro affiché m’indiqua qu’il s’agissait de ma grand-mère. Son coup de fil n’avait rien d’anodin et en prenant l’appel, elle m’interpella sur la situation entre ma mère et ma tante, situation qu’elle jugeait à juste titre pour le moins cocasse. Elle me prit directement à témoin, sans savoir que Véro l’écoutait, laquelle vint se mettre sur mes genoux pour mieux entendre le téléphone en mode haut-parleur.
    
    — Mais Patrick, je ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas dormir chez tes parents, ils t’ont fait quelque chose à toi aussi ? Me demanda-t-elle dans une incompréhension flagrante, alors que j’enlaçais ma tendre quadra.
    
    — Mamie, je n’ai pas aimé l’attitude de Maman envers Véronique et on s’est expliqué à ce sujet, pour moi le sujet est clos. Tu couches les garçons dans ta chambre d’amis et moi je dors sur un lit de camp dans leur chambre. Lui expliquai-je calmement, tout en desserrant la ceinture du peignoir de sa fille.
    
    — Bon, dans ce cas Véronique dormira sur le clic-clac du salon, mais ça ne va pas être confortable pour toi... explique-moi quand même le pourquoi du comment de cette histoire, c’est incroyable ! s’exclama-t-elle à juste titre.
    
    — Maman trouve que je suis trop souvent avec Véronique ...
    ... et elle en est devenue jalouse d’elle (ma tante, attentive à mes dires, acquiesça de la tête)... mais ne lui répète pas, ça va encore envenimer la situation. Lui affirmai-je tout en déboutonnant la chemise de nuit de ma grande blonde, qui pour l’instant ne protestait guère.
    
    — Tu dis que ta maman est jalouse, mais il faut dire qu’elle te suit partout, en Allemagne et maintenant Marseille... je ne veux pas la défendre, mais Véronique me donne l’impression qu’elle ne peut plus se passer de toi ! (exaspérée d’entendre la vérité, ma belle quadra leva les yeux au ciel) à t’écouter, on croirait que vous vivez ensemble (Véro, hors d’elle, pointa son index sur la tempe, me signifiant les âneries qu’elle entendait)... enfin, tout ça ne me regarde pas. Et toi, tu as une copine dans tout ça ? S’interrogea-t-elle avec un sous-entendu concernant sa fille et moi.
    
    — Bah...(Vérome jeta un regard désespéré, attentive à l’écoute de ma réponse mensongère au possible)... je, enfin... je suis à nouveau avec Adeline que j’avais connue à Bordeaux...(ma main se faufila avec aisance sous le pan de sa chemise de nuit, pour palper la base de l’un de ses seins moelleux) elle m’a rejoint ici, mais ne crois pas que c’est le grand amour, nous vivons un coup chez l’un et un coup chez l’autre. Affabulai-je maladroitement, tout en profitant du galbe de sa poitrine s’éveillant peu à peu.
    
    Vérome fit des gestes dans tous les sens et soupira un grand coup. Elle ne comprenait pas pourquoi j’avais rajouté un ...
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