Jeudi - Histoires de Sexe

Jeudi

... agir. Ce n’est pas toi et encore moins le personnel qui allez me diriger et me dicter ce que je dois faire ou ne pas faire.

En entendant ça, je ne m’empêche pas d’éclater de rire en mettant la télécommande (dont je ne me sépare plus) au maximum. Elle essaie d’enlever la boule en signe d’indépendance, mais elle n’y parvient pas du tout, au contraire, ses essais ne font qu’augmenter les effets des vibrations et par conséquent ses cris et gesticulations. Finalement, l’effet de la boule se fait sentir et elle jouit comme elle ne l’avait jamais fait auparavant. Elle ne peut que se mettre à genoux en se courbant et se tenir la tête avec ses deux mains. Je ne diminue pas le rythme des vibrations et elle continue à trembler de tous ses membres. Dix minutes, plus tard, j’arrête la boule, elle me regarde avec un air suppliant pour savoir pourquoi j’avais arrêté.

— Ce que tu as fait est à la fois inacceptable et inadmissible, la prochaine fois, ça ne va pas se passer comme ça, est-ce que tu as finalement compris ?
— Oui, certainement, j’ai compris, mais je n’admets pas votre comportement et que ce soit Michèle qui me donne vos instructions. Vous pouvez le faire vous-même directement, sans passer par le personnel. Que voulez-vous de moi à la fin ? Je ne suis ni une péripatéticienne ni votre esclave ?
— D’abord, tu peux t’asseoir pour mieux comprendre ce que je vais te redire pour la nième fois. Oui, tu es à la fois ma pute et mon esclave et à chaque fois que tu fais la grosse ...

... tête, tu en assumeras les conséquences, tu seras punie et tu seras privée de jouissance, par exemple. Aujourd’hui, il t’est interdit de jouir de jour ou de nuit jusqu’à demain midi, quelles que soient les conditions. Je suis libre de te faire passer mes instructions comme bon me semble. Enfin, tu n’as pas le droit de me tutoyer sans avoir reçu mon autorisation. Maintenant, tu peux aller continuer ton sport en attendant l’arrivée de Muriel.

Elle me regarde et sans dire un seul mot, me quitte pour rentrer chez elle. J’en profite pour actionner la boule à mi-niveau, histoire de l’agacer un peu, sinon beaucoup.

J’appelle le tailleur de la veille et lui explique qu’il me faudrait sept à huit robes complètement transparentes pour samedi midi, car j’organise une fête samedi soir en l’honneur de ma compagne. Il répond que c’est tout à fait faisable, mais qu’il lui faudrait les tailles. Je lui communique toutes les informations que je possède déjà. Il relève le point de la hauteur des robes par rapport aux genoux, je lui réponds que les dames ne pourraient pas passer chez lui pour les essais nécessaires et là, il me conseille d’adopter une solution intermédiaire qui consiste en un chemisier et une jupe qui sera ajustable au niveau de la taille. La robe de Chantal sera blanche (couleur de la virginité) et les autres en rouge (couleur du sang et de la passion). On y ajoute de longs gants arrivant jusqu’au coude et la commande est faite.

J’appelle le restaurant asiatique de la ...